Alitrétinoïne 30 mg capsule molle

pill

Informations générales

  • Substance

  • Forme galénique

    Capsule molle

  • Voie d'administration

    Voie orale

Source : ANSM

indication

Indications et autres usages documentés

side-effect

Posologie

ALIZEM doit être uniquement prescrit par des dermatologues ou des médecins ayant une parfaite connaissance des risques liés à l'utilisation des rétinoïdes systémiques et de la surveillance qu'elle impose. Les prescriptions d'ALIZEM à des femmes en âge de procréer doivent se limiter à 30 jours de traitement, et la poursuite du traitement nécessite une nouvelle prescription. Dans des conditions idéales, le test de grossesse, la prescription et la délivrance d'ALIZEM devraient être réalisés le même jour. La délivrance d'ALIZEM doit avoir lieu dans les 7 jours au maximum suivant sa prescription.

Posologie

La dose recommandée pour l'alitrétinoïne est de 10 mg ou 30 mg une fois par jour.

La dose d'initiation recommandée est de 30 mg en une prise quotidienne. Une diminution de la dose à 10 mg en une fois par jour peut être envisagée chez les patients ayant des effets indésirables non tolérables à la dose de 30 mg.

Les résultats d'études, évaluant les doses quotidiennes de 10 mg et de 30 mg, montrent que les deux doses ont permis de faire disparaître les symptômes de la maladie. La dose de 30 mg a été associée à une réponse plus rapide et à un taux de réponse plus élevé. La dose de 10 mg a été associée à une diminution de la fréquence des effets indésirables (voir rubrique 5.1).

Durée du traitement

Une cure d'alitrétinoïne peut être administrée pendant 12 à 24 semaines, en fonction de la réponse. L'arrêt du traitement est recommandé chez les patients dont les mains sont saines ou quasiment saines avant 24 semaines (voir rubrique 5.1). L'arrêt du traitement doit également être envisagé pour les patients présentant toujours une atteinte sévère après 12 semaines de traitement continu.

Retraitement

En cas de rechute, les patients peuvent bénéficier de cures supplémentaires d'alitrétinoïne (voir rubrique 5.1).

Population pédiatrique

L'utilisation d'alitrétinoïne n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans.

Insuffisance rénale

L'alitrétinoïne est contre-indiquée chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale sévère ou au stade terminal (voir rubrique 4.3).

L'alitrétinoïne n'est pas recommandée chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale modérée en raison du manque de données (voir rubrique 5.2).

Aucune modification de la dose ou de la fréquence d'administration n'est nécessaire chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale légère (voir rubrique 5.2).

Insuffisance hépatique

L'alitrétinoïne est contre-indiquée chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique (voir rubrique 4.3).

Patients âgés

Aucune modification de la dose ou de la fréquence d'administration n'est nécessaire chez les patients âgés de plus de 65 ans (voir rubrique 5.2).

Mode d'administration

Les capsules doivent être prises au moment du repas principal, une fois par jour, et de préférence au même moment chaque jour (voir rubrique 5.2).

ALIZEM ne doit pas être prescrit si l'eczéma du patient peut être contrôlé par des pratiques habituelles incluant la protection de la peau, l'évitement des allergènes et irritants et l'utilisation de dermocorticoïdes puissants.

Source : BDPM

side-effect

Contre-indications

  • Allaitement

  • Femme en âge de procréer

    SAUF celles qui répondent à toutes les conditions du Programme de Prévention de la Grossesse
  • Grossesse

  • Hypercholestérolémie non contrôlée

  • Hypertriglycéridémie non contrôlée

  • Hypervitaminose A

  • Hypothyroïdie non contrôlée

  • Insuffisance hépatique

  • Insuffisance rénale

interactions

Interactions

rétinoïdes <> autres rétinoïdes
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de symptômes évocateurs d’une hypervitaminose A.
Conduite à tenir
-
rétinoïdes <> cyclines
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'hypertension intracrânienne.
Conduite à tenir
-
rétinoïdes <> vitamine A
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de symptômes évocateurs d’une hypervitaminose A.
Conduite à tenir
-
résines chélatrices <> médicaments administrés par voie orale
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
La prise de résine chélatrice peut diminuer l’absorption intestinale et, potentiellement, l’efficacité d’autres médicaments pris simultanément.
Conduite à tenir
D’une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants <> médicaments administrés par voie orale
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément.
Conduite à tenir
Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
laxatifs (type macrogol) <> médicaments administrés par voie orale
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Avec les laxatifs, notamment en vue d’explorations endoscopiques: risque de diminution de l’efficacité du médicament administré avec le laxatif.
Conduite à tenir
Eviter la prise d’autres médicaments pendant et après l’ingestion dans un délai d’au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu’à la réalisation de l’examen.
side-effect

Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

La grossesse est une contre-indication absolue au traitement par ALIZEM (voir rubrique 4.3). La survenue, en dépit des mesures contraceptives, d'une grossesse au cours d'un traitement par ALIZEM ou dans le mois qui suit son arrêt, comporte un risque très élevé de malformations très sévères et graves chez le fœtus.

L'alitrétinoïne est un rétinoïde et donc un puissant tératogène. Les malformations fœtales associées au traitement par rétinoïdes incluent des anomalies du système nerveux central (hydrocéphalie, malformations ou anomalies cérébelleuses, microcéphalie), des dysmorphies faciales, des fentes palatines, des anomalies de l'oreille externe (absence d'oreille externe, conduit auditif externe petit ou absent), des anomalies oculaires (microphtalmie), des anomalies cardiovasculaires (anomalies conotruncales telles que tétralogie de Fallot, transposition des gros vaisseaux, malformations septales), des anomalies du thymus et des glandes parathyroïdes. Il existe également une augmentation du risque d'avortement spontané (voir rubriques 4.3, 4.4).

En cas de survenue de grossesse chez une femme traitée par alitrétinoïne, le traitement doit être interrompu et la patiente doit être adressée à un médecin spécialiste ou compétent en tératologie pour évaluation et conseil.

Allaitement

Étant une molécule hautement lipophile, l'alitrétinoïne passe très probablement dans le lait maternel. Compte tenu du risque potentiel chez l'enfant exposé, l'alitrétinoïne est contre-indiquée au cours de l'allaitement.

Fertilité

De faibles quantités d'alitrétinoïne (au-dessus des niveaux endogènes) ont été détectées dans le liquide séminal de certains volontaires sains recevant 40 mg d'alitrétinoïne et aucune accumulation n'est attendue dans le liquide séminal. Même en supposant une absorption vaginale totale de ces quantités, l'effet serait négligeable sur les taux plasmatiques endogènes de la partenaire ou du fœtus et par conséquent n'apparaissent pas comme pouvant poser un risque pour le fœtus si la partenaire est enceinte.

Selon des données non cliniques, la fertilité masculine peut être compromise par un traitement avec ALIZEM (voir rubrique 5.3).

Source : BDPM

side-effect

Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : autres médicaments dermatologiques, médicaments utilisés dans la dermatite, à l'exclusion des corticostéroïdes. Code ATC : D11AH04.

Mécanisme d'action

L'action pharmacologique des rétinoïdes peut s'expliquer par leurs effets sur la prolifération cellulaire, la différenciation cellulaire, l'apoptose, l'angiogenèse, la kératinisation, la sécrétion de sébum et l'immunomodulation. Contrairement à d'autres rétinoïdes, qui sont des agonistes spécifiques aux récepteurs soit RAR ou RXR, l'alitrétinoïne se lie aux membres des deux familles de récepteurs. Le mécanisme d'action de l'alitrétinoïne dans l'eczéma chronique des mains est inconnu. L'alitrétinoïne a démontré des effets immunomodulateurs et anti-inflammatoires applicables aux inflammations cutanées. L'alitrétinoïne empêche la production des chimiokines impliquées dans le recrutement des leucocytes sur des sites d'inflammation cutanée, diminue le développement des lymphocytes T et des cellules présentatrices des antigènes, et inhibe l'effet sur la différentiation des cellules. Les ligands CXCR3 et les chimiokines CCL20, exprimés dans les lésions cutanées eczémateuses, sont soumis à une rétrorégulation par l'alitrétinoïne dans les kératinocytes stimulés par les cytokines et dans les cellules dermiques endothéliales. En outre, l'alitrétinoïne neutralise l'expansion des sous-ensembles leucocytaires activés par les cytokines et des cellules présentant des antigènes.

Chez l'homme, on a observé que l'alitrétinoïne n'avait qu'un effet minime sur la sécrétion de sébum.

Efficacité clinique et sécurité

La sécurité et l'efficacité de l'alitrétinoïne chez les patients atteints d'eczéma chronique sévère des mains (ECM) ne répondant pas au traitement par des dermocorticoïdes puissants ont été évaluées dans deux études de phase III randomisées en double aveugle contre placebo réalisées avec le médicament de référence.

Le critère principal d'évaluation de ces études était la proportion de patients satisfaisant aux critères de l'échelle d'évaluation globale du médecin (PGA - Physician's Global Assessment), à savoir la disparition ou la quasi-disparition des symptômes en fin de traitement (voir tableau 1). Le traitement a duré entre 12 et 24 semaines.

L'étude BAP00089 (BACH) a été menée en Europe et au Canada, et a inclus 1 032 patients atteints d'eczéma chronique sévère des mains, n'ayant présenté aucune réponse ou une réponse transitoire (amélioration initiale et aggravation de la maladie malgré la poursuite du traitement) aux corticostéroïdes topiques puissants administrés, ou ayant présenté une intolérance à ces corticostéroïdes. Tous les phénotypes de la maladie ont été inclus : environ 30 % des patients présentaient un ECM uniquement hyperkératosique, cependant, la majorité des patients présentaient plusieurs phénotypes. Tous les patients ont essentiellement présenté des signes d'inflammation cutanée, y compris d'érythème et/ou de vésicules. Le traitement par l'alitrétinoïne a entraîné une disparition/quasi-disparition des symptômes chez une proportion nettement supérieure de patients comparés au groupe traité par placebo. La réponse au traitement était dose dépendante (voir tableau 1).

Les critères secondaires d'évaluation incluaient la proportion de répondeurs partiels (patients ayant au moins une atteinte légère de la maladie), le délai de réponse (disparition ou quasi disparition des symptômes), la réduction du score modifié total de lésions symptomatiques (mTLSS), l'évaluation globale du patient (PaGA) sur la gravité de la maladie, et la réduction de l'étendue de la maladie (voir tableau 1).

La seconde étude, BAP001346 (HANDEL), a été menée aux États-Unis et a inclus 596 patients atteints d'eczéma chronique sévère des mains, n'ayant présenté aucune réponse ou une réponse transitoire (amélioration initiale et aggravation de la maladie malgré la poursuite du traitement) aux dermocorticostéroïdes puissants, ou ayant présenté une intolérance à ces dermocorticostéroïdes. Les sujets ont été considérés comme non-répondeurs s'ils présentaient un eczéma chronique sévère des mains après au moins 2 semaines de traitement par un dermocorticostéroïde très puissant sur une période de pré-inclusion de 16 semaines. Tous les phénotypes de la maladie ont été inclus.

Les critères d'évaluation secondaires incluaient l'estimation du délai de réponse médian (délai entre le début du traitement de l'étude après la randomisation et la première évaluation PGA mains saines /quasiment saines), la diminution du score modifié total de lésions symptomatiques (mTLSS), l'évaluation globale du patient (PaGA) sur la sévérité de la maladie, et la réduction de l'étendue de la maladie à la fin du traitement (voir tableau 1).

Tableau 1 Résultats : Critères d'évaluation principal et secondaires clés

<table> <tbody><tr> <td></td> <td colspan="3"> BAP00089 (BACH) </td> <td colspan="2"> BAP01346 (HANDEL) </td> </tr> <tr> <td> Critère principal d'évaluation </td> <td> 10 mg </td> <td> 30 mg </td> <td> Placebo </td> <td> 30 mg </td> <td> Placebo </td> </tr> <tr> <td> Population en intention de traiter </td> <td> N = 418 </td> <td> N = 409 </td> <td> N = 205 </td> <td> N = 298 </td> <td> N = 298 </td> </tr> <tr> <td colspan="6"> PGA à la fin du traitement n (%) </td> </tr> <tr> <td> Taux de réponse global </td> <td> 115 (27,5 %) </td> <td> 195 (47,7 %) </td> <td> 34 (16,6 %) </td> <td> 118 (39,6 %) </td> <td> 44 (14,8 %) </td> </tr> <tr> <td> Mains saines </td> <td> 39 (9,3 %) </td> <td> 90 (22,0 %) </td> <td> 6 (2,9 %) </td> <td> 58 (19,5 %) </td> <td> 14 (4,7 %) </td> </tr> <tr> <td> Mains quasiment saines </td> <td> 76 (18,2 %) </td> <td> 105 (25,7 %) </td> <td> 28 (13,7 %) </td> <td> 60 (20,1 %) </td> <td> 30 (10,1 %) </td> </tr> <tr> <td> Comparaison avec le placebo </td> <td> P = 0,004 </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> </tr> <tr> <td colspan="6"> Critères d'évaluation secondaires </td> </tr> <tr> <td colspan="6"> PaGA à la fin du traitement n (%) </td> </tr> <tr> <td> Mains saines/ quasiment saines </td> <td> 101 (24,2 %) </td> <td> 163 (39,9 %) </td> <td> 31 (15,1 %) </td> <td> 117 (39,3 %) </td> <td> 41 (13,8 %) </td> </tr> <tr> <td> Comparaison avec le placebo </td> <td> P = 0,013 </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> </tr> <tr> <td colspan="6"> Variation en pourcentage entre le mTLSS initial et fin de traitement </td> </tr> <tr> <td> Moyenne (STD) </td> <td> -50,79 (36,13) </td> <td> -60,80 (38,58) </td> <td> -37,30 (37,65) </td> <td> -53,99 (40,16) </td> <td> -29,86 (37,83) </td> </tr> <tr> <td> Médiane </td> <td> -56,25 </td> <td> -75,0 </td> <td> -38,68 </td> <td> -67,70 </td> <td> -24,40 </td> </tr> <tr> <td> Min - Max </td> <td> -100 - 66,7 </td> <td> -100 - 175 </td> <td> -100 - 72,7 </td> <td> -100 - 60 </td> <td> -100 - 63,6 </td> </tr> <tr> <td> Comparaison avec le placebo </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> </tr> <tr> <td colspan="6"> Variation en pourcentage de l'étendue de la maladie entre l'inclusion et la fin du traitement </td> </tr> <tr> <td> Moyenne (STD) </td> <td> -40,01 (49,57) </td> <td> -54,15 (46,89) </td> <td> -31,93 (45,56) </td> <td> -46,56 (53,75) </td> <td> -24,20 (48,21) </td> </tr> <tr> <td> Médiane </td> <td> -50,0 </td> <td> -75,0 </td> <td> -33,33 </td> <td> -62,50 </td> <td> -18,20 </td> </tr> <tr> <td> Min - Max </td> <td> -100 - 200 </td> <td> -100 - 140 </td> <td> -100 - 130 </td> <td> -100 - 166,7 </td> <td> -100 - 140 </td> </tr> <tr> <td> Comparaison avec le placebo </td> <td> P = 0,016 </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> </tr> <tr> <td colspan="6"> Délai de réponse médian des répondeurs à la fin du traitement </td> </tr> <tr> <td> Médiane (Days) </td> <td> 115,0 </td> <td> 85,0 </td> <td> 141 </td> <td> 65,0 </td> <td> 117,0 </td> </tr> <tr> <td> Comparaison avec le placebo </td> <td> P = 0,01 </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> <td> P &lt; 0,001 </td> <td> NA </td> </tr> <tr> <td colspan="6"> Taux de réponse partiel (mains saine / quasiment saines / atteintes légères) </td> </tr> <tr> <td> N (%) </td> <td> 207 (49,5 %) </td> <td> 254 (62,1 %) </td> <td> 74 (36,1 %) </td> <td> NA </td> <td> NA </td> </tr> </tbody></table>

a : D'après les tests de Chi carré corrigés en continuité par paire versus placebo basé sur la proportion des répondeurs.

b : D'après le test non paramétrique de Kruskal Wallis versus placebo basé sur le changement moyen depuis l'inclusion.

c : D'après le test Log Rank versus placebo basé sur le délai médian de réponse.

Durée du traitement

Une analyse dose-réponse longitudinale des études de phase 3 (BAP00089, BAP001346 et BAP00091 - Cohorte A) a montré qu'une fois que les patients avaient des mains saines ou quasiment saines, il n'y avait aucune relation entre la durée du traitement et la probabilité de rechute. Par conséquent, l'arrêt du traitement est recommandé pour les patients dont les mains sont saines/quasiment saines avant 24 semaines (voir rubrique 4.2). Dans les études cliniques pivot, 67 % des sujets ayant répondu au traitement par l'alitrétinoïne n'avaient pas rechuté au stade sévère de la maladie 24 semaines après l'arrêt du traitement, et par conséquent, n'étaient pas candidats pour une deuxième cure dans cette même période.

Retraitement

Une étude de retraitement (BAP00091 - Cohorte A) a examiné l'efficacité et la sécurité d'une deuxième cure de traitement pour les patients ayant précédemment répondu au traitement dans l'étude BAP00089, mais qui ont rechuté. Les patients ont été randomisés pour recevoir la même dose que celle attribuée pour le traitement initial (10 mg ou 30 mg) ou pour recevoir le placebo suivant un ratio 2 :1 (N=70 alitrétinoïne, N=47 placebo). Les résultats suggèrent que les patients ayant précédemment répondu au traitement par l'alitrétinoïne peuvent bénéficier d'un retraitement.

Source : BDPM

side-effect

Effets indésirables

  • céphalée

  • diminution de HDL circulante

  • hypercholestérolémie

  • hypertriglycéridémie

pill

Liste des spécialités disponibles

Source : BDPM

Testez Posos gratuitement

L’outil d’aide à la prescription simple et personnalisé

Voir les risques d'une prescription

Trouver des alternatives thérapeutiques

Identifiez l'origine d'un effet indésirable

Vous avez déjà un compte ?Se connecter