Amikacine panpharma 250 mg/ml, solution injectable

pill

Informations générales

  • Substance

  • Forme galénique

    -

  • Voies d'administration

    Voie intramusculaire, Voie intraveineuse

Source : ANSM

side-effect

Posologie

Posologie

La dose dépend de la gravité du tableau clinique, du terrain, de la fonction rénale du patient et de la bactérie identifiée.

Il convient de se référer aux recommandations thérapeutiques.

La dose est exprimée selon le poids corporel du patient.

Il existe plusieurs présentations d'amikacine dont certaines sont plus adaptées aux fortes doses à administrer par voie intraveineuse.

Surveillance des concentrations plasmatiques d'amikacine

Les recommandations thérapeutiques sur la surveillance des concentrations plasmatiques doivent être prises en considération.

L'état de la fonction rénale doit être estimé en mesurant la concentration sérique de la créatinine ou par calcul de la clairance de la créatinine endogène. L'utilisation de l'azote uréique sanguin est beaucoup moins fiable. La fonction rénale doit être régulièrement contrôlée au cours du traitement.

Dès que cela est possible, les concentrations sériques d'amikacine doivent être mesurées pour assurer des taux corrects mais non excessifs. Il est préférable de mesurer, par intermittence au cours du traitement, à la fois les concentrations sériques maximales et les concentrations sériques résiduelles.

Les concentrations maximales (30 à 90 minutes après injection) supérieures à 35 µg/mL et les concentrations résiduelles (juste avant la prochaine dose) supérieures à 10 µg/mL doivent être évitées.

La dose doit être adaptée conformément aux recommandations. Chez les patients dont la fonction rénale est normale, une dose quotidienne peut être administrée ; les concentrations maximales peuvent dans ces cas-là dépasser les 35 µg/mL.

Chez les patients atteints d'insuffisance rénale, le suivi des concentrations plasmatiques est fortement recommandé.

Durée du traitement

La durée totale du traitement doit être limitée à 7 à 10 jours, selon la gravité de l'infection. En cas d'infection sévère et compliquée, lorsque le traitement par amikacine excède 10 jours, la pertinence du traitement par amikacine doit être réévaluée car la poursuite éventuelle du traitement nécessitera la surveillance du taux sérique d'amikacine ainsi que des fonctions rénale, auditive et vestibulaire.

Patients dont la fonction rénale est normale (clairance de la créatinine ≥ 50 mL/min)

Adultes et adolescents de 12 ans et plus (poids corporel supérieur à 33 kg) :

La dose intraveineuse recommandée pour les adultes et les adolescents dont la fonction rénale est normale (clairance de la créatinine ≥ 50 mL/min) est de 15 mg/kg de poids corporel/jour. Elle peut être administrée en une seule dose ou répartie en 2 doses égales, à savoir 7,5 mg/kg de poids corporel toutes les 12 heures.

La dose quotidienne totale ne peut pas dépasser 1,5 g. En cas d'endocardite et chez les patients neutropéniques fébriles, la dose doit être administrée en deux fois par jour car les données évaluant l'administration d'une dose unique journalière sont insuffisantes.

Nourrissons et enfants (de 4 semaines à 11 ans) :

La dose intraveineuse (perfusion intraveineuse lente) recommandée chez les enfants ayant une fonction rénale normale est de 15 à 20 mg/kg de poids corporel par jour. Elle peut être administrée en une dose de 15 à 20 mg/kg de poids corporel une fois par jour ou en doses de 7,5 mg/kg de poids corporel toutes les 12 heures. En cas d'endocardite et chez les patients neutropéniques fébriles, la dose doit être administrée en deux fois par jour car les données évaluant l'administration d'une dose unique journalière sont insuffisantes.

Nouveau-nés (de 0 à 27 jours) :

Une dose de charge initiale de 10 mg/kg de poids corporel suivie de 7,5 mg/kg de poids corporel toutes les 12 heures (voir rubriques 4.4 et 5.2).

Prématurés

Chez les prématurés, la dose recommandée est de 7,5 mg/kg de poids corporel toutes les 12 heures (voir rubriques 4.4 et 5.2).

Dose quotidienne maximale

La dose quotidienne totale ne doit pas dépasser 15-20 mg/kg de poids corporel/jour, quelle que soit la voie d'administration.

Etant donné la nécessité d'adaptation de la dose, l'administration d'amikacine en dose unique journalière n'est pas recommandée chez les patients présentant une immuno-dépression, une insuffisance rénale, une mucoviscidose, une ascite ou des brûlures étendues (plus de 20 % de la surface corporelle), chez les patients âgés et en cas de grossesse.

Patients insuffisants rénaux (clairance de la créatinine < 50 mL/min)

L'administration d'une dose unique journalière d'amikacine n'est pas recommandée chez les patients présentant une altération de la fonction rénale (clairance de la créatinine < 50 mL/min) car ces patients seront exposés en continu à des concentrations minimales élevées. Voir ci-après les adaptations de dose chez les patients présentant une altération de la fonction rénale.

Chez les patients présentant une insuffisance rénale et recevant habituellement une dose quotidienne en deux ou trois administrations, les concentrations sériques d'amikacine doivent être contrôlées par des techniques adaptées. Les doses doivent être adaptées chez les patients présentant une insuffisance rénale, soit en allongeant les intervalles entre des doses normales, soit en réduisant les doses administrées à intervalles fixes, afin d'éviter une accumulation d'amikacine.

Les deux approches se basent sur les valeurs de la clairance de la créatinine ou de la créatinine sérique du patient car il a été montré que ces valeurs sont corrélées à la demi-vie des aminosides chez les patients dont la fonction rénale est réduite. Ces schémas posologiques doivent être utilisés conjointement à des examens cliniques et biologiques minutieux du patient et doivent être modifiés si nécessaire, notamment lorsque le patient est sous dialyse.

Allongement de l'intervalle entre deux doses normales

Si la clairance de la créatinine n'est pas disponible et que l'état du patient est stable, l'intervalle, en heures, entre deux doses uniques normales (c'est-à-dire qui seraient administrées à un patient dont la fonction rénale est normale, soit 7,5 mg/kg de poids corporel deux fois par jour) se calcule en multipliant par 9 la concentration de créatinine sérique. Par exemple, si la concentration de créatinine est de 2 mg/100 mL, la dose recommandée (7,5 mg/kg de poids corporel) doit être administrée toutes les 2 x 9 = 18 heures.

Réduction de la dose administrée à intervalles fixes

Si la détermination des concentrations sériques d'amikacine n'est pas possible et que l'état du patient est stable, les valeurs de la créatinine sérique et de la clairance de la créatinine sont les indicateurs les plus facilement disponibles permettant de définir le degré d'insuffisance rénale pour déterminer la dose.

Chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique et dont la clairance de la créatinine est connue, la dose de charge d'amikacine est de 7,5 mg/kg de poids corporel. La dose d'entretien administrée toutes les 12 heures doit être réduite en fonction de la diminution du taux de clairance de la créatinine du patient et est calculée à l'aide de la formule suivante :

Cf. Guide pratique sur des doses d'amikacine dans le tableau ci-dessous :

Ces schémas posologiques ne sont pas des recommandations strictes, mais guident sur des doses lorsque le dosage de la concentration sérique d'amikacine n'est pas possible.

Une autre méthode permettant de déterminer la réduction de la dose avec des intervalles de douze heures (pour les patients dont les valeurs de la créatinine sérique stables sont connues) est de diviser la dose généralement recommandée par la créatinine sérique du patient.

Patients sous hémodialyse

L'amikacine est éliminée facilement par hémodialyse; plus de 90 % de la dose étant éliminés en 4 heures. Chez les patients anuriques, une dose initiale normale devra être administrée (7,5 mg/kg). Les doses suivantes, administrées après l'hémodialyse, seront comprises entre 2,5 et 3,75 mg/kg. La surveillance des concentrations sériques est essentielle.

Patients sous dialyse péritonéale

Ce type de dialyse est beaucoup moins efficace, seuls 30 % d'une dose donnée pouvant être éliminés en 12 heures.

Patients âgés

Les patients âgés peuvent présenter une altération de la fonction rénale.

L'amikacine est excrétée par voie rénale. La fonction rénale doit être évaluée dès que possible et la dose doit être adaptée si nécessaire.

Patients obèses

L'amikacine diffuse mal dans les tissus adipeux. La dose appropriée peut être calculée en se basant sur le poids corporel idéal estimé du patient et en ajoutant 40 % de l'excédent afin de déterminer la dose en mg/kg. La dose doit être adaptée en fonction des résultats de la surveillance de la concentration plasmatique.

Formule pour le calcul du poids à prendre en compte pour déterminer la posologie chez les patients obèses (P1) :

P1 = PI + (PA - PI) x 0,4

PI = poids idéal

PA = poids actuel

La dose maximale de 1,5 g par jour ne doit pas être dépassée.

Patients avec ascite

Des doses plus élevées doivent être administrées afin d'obtenir une concentration sérique adéquate, compte tenu de la distribution relativement plus importante dans le compartiment liquidien extracellulaire.

Mode d'administration

Voie intraveineuse, et à titre exceptionnel par voie intramusculaire.

La durée de perfusion recommandée chez l'adulte est de 30 minutes, mais peut être allongée jusqu'à 60 minutes. Chez les patients pédiatriques, la solution doit habituellement être perfusée sur une durée de 30 à 60 minutes. Chez les nourrissons, la solution sera perfusée en 1 à 2 heures.

La voie intramusculaire est à éviter dans la mesure du possible, mais peut être pratiquée à titre exceptionnel en tenant compte que cette voie n'offre pas les mêmes garanties que la voie intraveineuse.

Si la voie intramusculaire doit être utilisée, les schémas d'administration sont identiques à ceux préconisés pour la voie intraveineuse.

Pour les instructions concernant la dilution du médicament avant administration, voir la rubrique 6.6.

Source : BDPM

side-effect

Contre-indications

  • Grossesse

interactions

Interactions

aminosides <> ataluren
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de potentialisation de la toxicité rénale de l’aminoside.
Conduite à tenir
-
aminosides <> autres aminosides
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque accru de néphrotoxicité et d'ototoxicité (l'ototoxicité est cumulative en cas d'administrations successives).
Conduite à tenir
Contre-indication : - en cas d'administration simultanée
aminosides <> botulique (toxine)
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'augmentation des effets de la toxine botulique avec les aminosides (par extrapolation à partir des effets observés au cours du botulisme).
Conduite à tenir
Utiliser un autre antibiotique.
aminosides <> polymyxine B
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Addition des effets néphrotoxiques.
Conduite à tenir
Si l'association ne peut être évitée, surveillance stricte avec une justification bactériologique indiscutable.
aminosides <> curares
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Potentialisation des curares lorque l'antibiotique est administré par voie parentérale et/ou péritonéale avant, pendant ou après l'agent curarisant.
Conduite à tenir
Surveiller le degré de curarisation en fin d'anesthésie.
aminosides <> céfalotine
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
L'augmentation de la néphrotoxicité des aminosides par la céfalotine est discutée.
Conduite à tenir
Surveillance de la fonction rénale.
aminosides <> diurétiques de l'anse
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation des risques néphrotoxiques et ototoxiques de l'aminoside (insuffisance rénale fonctionnelle liée à la déshydratation entraînée par le diurétique).
Conduite à tenir
Association possible sous contrôle de l'état d'hydratation, des fonctions rénale et cochléovestibulaire, et éventuellement, des concentrations plasmatiques de l'aminoside.
aminosides <> amphotéricine B
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque accru de néphrotoxicité.
Conduite à tenir
-
aminosides <> ciclosporine
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation de la créatininémie plus importante que sous ciclosporine seule, avec majoration du risque néphrotoxique.
Conduite à tenir
-
aminosides <> organoplatines
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Addition des effets néphrotoxiques et/ou ototoxiques, notamment en cas d'insuffisance rénale préalable.
Conduite à tenir
-
aminosides <> tacrolimus
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation de la créatininémie plus importante que sous tacrolimus seul (synergie des effets néphrotoxiques des deux substances).
Conduite à tenir
-
médicaments néphrotoxiques <> autres médicaments néphrotoxiques
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de majoration de la néphrotoxicité.
Conduite à tenir
-
médicaments ototoxiques <> autres médicaments ototoxiques
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Majoration de l'ototoxicité.
Conduite à tenir
-
side-effect

Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les données disponibles concernant l'utilisation d'aminosides chez les femmes enceintes sont limitées. Les aminosides peuvent être nocifs pour le fœtus. Ils traversent la barrière placentaire et des cas de surdité congénitale bilatérale totale irréversible ont été rapportés chez des enfants dont les mères ont reçu de la streptomycine durant leur grossesse. Bien qu'aucun effet indésirable sur le fœtus ou le nouveau-né n'ait été signalé chez des femmes enceintes traitées par d'autres aminosides, il existe une nocivité potentielle. Si l'amikacine est utilisée durant la grossesse ou si la patiente débute une grossesse alors qu'elle prend ce médicament, la patiente doit être informée des risques potentiels pour le fœtus.

AMIKACINE PANPHARMA 250 mg/mL, solution injectable ne doit pas être administrée pendant la grossesse, à moins que l'état clinique de la patiente ne requière un traitement par amikacine. Si le traitement est jugé nécessaire, il doit uniquement avoir lieu sous surveillance médicale (voir rubrique 4.4).

Allaitement

Aucune donnée n'est disponible sur l'éventuelle excrétion de l'amikacine ou de ses métabolites dans le lait maternel. La décision d'interrompre l'allaitement ou d'interrompre l'administration ou de ne pas débuter l'administration d'AMIKACINE PANPHARMA 250 mg/mL, solution injectable doit être prise en tenant compte des avantages de l'allaitement pour l'enfant et des bénéfices du traitement pour la mère.

Fertilité

Des études de la toxicité sur la reproduction menées chez la souris et le rat n'ont montré aucun effet sur la fertilité.

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Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : autres aminosides, code ATC : J01GB06

L'amikacine est un antibiotique aminoside semi-synthétique dérivé de la kanamycine. Elle est obtenue par acylation avec un acide amino-hydroxybutyrique au niveau du groupe aminé C-1 de la fraction 2déoxystreptamine.

Mécanisme d'action

L'amikacine agit en inhibant la synthèse des protéines au niveau du ribosome bactérien grâce à une interaction avec l'ARN ribosomique, laquelle entraîne une inhibition de la traduction chez les microorganismes sensibles. Il en résulte une action bactéricide.

Rapport pharmacocinétique/pharmacodynamie

Le principal paramètre pharmacocinétique/pharmacodynamique permettant de prédire l'effet bactéricide de l'amikacine est le rapport de la concentration sérique maximale (Cmax) et de la concentration minimale inhibitrice (CMI) de l'agent pathogène concerné. Un ratio Cmax/CMI de 8:1 ou 10:1 est considéré comme permettant l'élimination efficace des bactéries et la prévention d'une nouvelle prolifération bactérienne.

L'amikacine a démontré un effet post-antibiotique in vitro et in vivo. L'effet post-antibiotique permet d'allonger l'intervalle de dose sans perte d'efficacité contre la plupart des bacilles à Gram négatif.

Mécanismes de résistance

Une résistance à l'amikacine peut résulter des mécanismes suivants :

  • Inactivation enzymatique : la modification enzymatique des molécules de l'aminoside est le mécanisme de résistance le plus courant. Elle est médiée par des acétyltransférases, des phosphotransférases ou des nucléotidyltransférases, qui sont généralement codées par des plasmides. L'amikacine a démontré une efficacité contre de nombreuses souches résistantes aux aminosides, en raison de sa capacité à résister à une dégradation par des enzymes qui inactivent les aminosides.

  • Pénétration réduite et efflux actif : ces mécanismes de résistance sont observés chez Pseudomonas aeruginosa. Des données récentes indiquent l'émergence de mécanismes de résistance similaires chez Acinetobacter spp.

  • Altération de la structure cible: occasionnellement, des modifications à l'intérieur des ribosomes sont identifiées comme la cause de la résistance.

L'apparition d'une résistance durant le traitement est peu fréquente. Une résistance croisée partielle entre l'amikacine et d'autres antibiotiques aminosides est possible.

Concentrations critiques

Les concentrations critiques (breakpoints) établies par l'EUCAST (European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing) pour l'amikacine sont listées sur le site internet de l'EMA (European Medicines Agency/Agence européenne des médicaments) :

https://www.ema.europa.eu/en/evaluation-medicinal-products-indicated-treatment-bacterial-infections-scientific-guideline#minimum-inhibitory-concentration-(mic)-breakpoints-section

Spectre d'activité antibactérienne

La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Si nécessaire, il est souhaitable d'obtenir un avis spécialisé principalement lorsque l'intérêt du médicament dans certaines infections peut être mis en cause du fait du niveau de prévalence de la résistance locale.

<table> <tbody><tr> <td> ESPECES HABITUELLEMENT SENSIBLES </td> </tr> <tr> <td> Aérobies à Gram positif </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus aureus sensible à la méticilline </td> </tr> <tr> <td> Aérobies à Gram négatif </td> </tr> <tr> <td> Aeromonas spp. </td> </tr> <tr> <td> Campylobacter spp. </td> </tr> <tr> <td> Citrobacter freundii </td> </tr> <tr> <td> Citrobacter koseri </td> </tr> <tr> <td> Enterobacter cloacae </td> </tr> <tr> <td> Haemophilus influenzae ($) </td> </tr> <tr> <td> Francisella tularensis </td> </tr> <tr> <td> Klebsiella oxytoca </td> </tr> <tr> <td> Morganella morganii </td> </tr> <tr> <td> Proteus mirabilis </td> </tr> <tr> <td> Proteus vulgaris </td> </tr> <tr> <td> Providencia rettgeri </td> </tr> <tr> <td> Providencia stuartii </td> </tr> <tr> <td> Salmonella enterica </td> </tr> <tr> <td> Serratia liquefaciens </td> </tr> <tr> <td> Shigella spp. </td> </tr> <tr> <td> Yersinia enterocolitica </td> </tr> <tr> <td> Yersinia pseudotuberculosis </td> </tr> <tr> <td> Bactéries atypiques </td> </tr> <tr> <td> Mycobacterium spp. </td> </tr> <tr> <td> ESPECES INCONSTAMMENT SENSIBLES RESISTANCE ACQUISE ≥ 10% </td> </tr> <tr> <td> Aérobies à Gram positif </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (+) </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus à coagulase négative (+) </td> </tr> <tr> <td> Aérobies à Gram négatif </td> </tr> <tr> <td> Acinetobacter spp. </td> </tr> <tr> <td> A. baumannii </td> </tr> <tr> <td> Enterobacter aerogenes </td> </tr> <tr> <td> Escherichia coli </td> </tr> <tr> <td> Klebsiella pneumoniae </td> </tr> <tr> <td> Pseudomonas aeruginosa </td> </tr> <tr> <td> Serratia marcescens </td> </tr> <tr> <td> Espèces naturellement résistantes </td> </tr> <tr> <td> Aérobies à Gram positif </td> </tr> <tr> <td> Enterococcus </td> </tr> <tr> <td> Streptococcus </td> </tr> <tr> <td> - S. pyogenes du groupe A </td> </tr> <tr> <td> - S. des groupes B, C, G </td> </tr> <tr> <td> - S. pneumoniae </td> </tr> <tr> <td> Aérobies à Gram négatif </td> </tr> <tr> <td> Burkholderia cepacia </td> </tr> <tr> <td> Stenotrophomonas maltophilia </td> </tr> <tr> <td> Anaérobies </td> </tr> <tr> <td> Bacteroides spp. </td> </tr> <tr> <td> Clostridium perfringens </td> </tr> <tr> <td> Clostridium difficile </td> </tr> <tr> <td> Prevotella spp. </td> </tr> <tr> <td> Autres </td> </tr> <tr> <td> Chlamydia spp. </td> </tr> <tr> <td> Chlamydophila spp. </td> </tr> <tr> <td> Mycoplasma spp. </td> </tr> <tr> <td> Ureaplasma urealyticum </td> </tr> </tbody></table>

Les aminosides peuvent être associés à d'autres antibiotiques afin de lutter contre les cocci à Gram positif.

Source : BDPM

side-effect

Effets indésirables

  • acouphène

  • contamination microbienne

  • hypoacousie

  • insuffisance rénale

  • lésion du tubule rénal

  • nausée

  • nystagmus

  • sensation de pression dans l'oreille

  • surinfection

  • vertige

  • étourdissement

pill

Liste des spécialités disponibles

Source : BDPM

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