Céfépime (chlorhydrate) 2 g poudre pour solution injectable/pour perfusion

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Informations générales

Source : ANSM

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Posologie

Posologie

Après reconstitution, le céfépime peut être administré par voie intraveineuse en injection lente sur une période de 3 à 5 minutes ou en perfusion rapide sur une période de 30 minutes.

La posologie et le mode d'administration dépendent de la nature et de la sévérité de l'infection, de la sensibilité des agents pathogènes, de la fonction rénale et de la constitution générale du patient.

Posologie chez les patients ayant une fonction rénale normale :

Adultes et adolescents pesant plus de 40 kg (généralement de plus de 12 ans) :

<table> <tbody><tr> <td colspan="2"> Doses uniques et intervalle posologique </td> </tr> <tr> <td> Infections sévères : · Bactériémie · Pneumonie · Infections compliquées des voies urinaires (y compris pyélonéphrite) · Infections aiguës des voies biliaires </td> <td> Infections très sévères : · Infections intra-abdominales compliquées · Traitement empirique des patients atteints de neutropénie fébrile </td> </tr> <tr> <td> 2,0 g toutes les 12 heures </td> <td> 2,0 g toutes les 8 heures </td> </tr> </tbody></table>

Nourrissons et enfants (âgés de 1 mois à 12 ans et/ou pesant ≤ 40 kg, avec une fonction rénale normale)

<table> <tbody><tr> <td colspan="3"> Doses uniques (mg/kg de poids corporel), intervalle posologique et durée du traitement </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Infections sévères : · Pneumonie · Infections compliquées des voies urinaires (y compris pyélonéphrite) </td> <td> Infections très sévères : · Bactériémie · Méningite bactérienne · Traitement empirique des patients atteints de neutropénie fébrile </td> </tr> <tr> <td> Enfants de plus de 2 mois, pesant ≤ 40 kg : </td> <td> 50 mg/kg toutes les 12 heures Infections plus sévères : 50 mg/kg toutes les 8 heures durant 10 jours </td> <td> 50 mg/kg toutes les 8 heures durant 7-10 jours </td> </tr> <tr> <td> Nourrissons âgés de 1 à 2 mois : </td> <td> 30 mg/kg toutes les 12 heures Infections plus sévères : 30 mg/kg toutes les 8 heures durant 10 jours </td> <td> 30 mg/kg toutes les 8 heures durant 7-10 jours </td> </tr> </tbody></table>

L'expérience acquise auprès des nourrissons de moins de 2 mois est limitée. Les doses recommandées de 30 mg/kg toutes les 12 ou 8 heures proviennent des données pharmacocinétiques recueillies chez des enfants de plus de 2 mois et sont considérées comme appropriées chez le nourrisson âgé de 1 à 2 mois.

Chez les enfants pesant plus de 40 kg, les doses recommandées sont les mêmes que chez l'adulte.

Les doses recommandées pour les jeunes enfants pesant < 40 kg s'appliquent aux enfants de plus de 12 ans pesant < 40 kg.

Comme chez l'adulte, la dose quotidienne maximale recommandée de 2 g toutes les 8 heures ne doit pas être dépassée.

Posologie chez les patients présentant une altération de la fonction rénale :

Chez les patients dont la fonction rénale est altérée, la dose de céfépime doit être adaptée afin de compenser une élimination rénale ralentie.

Adultes et adolescents (> 12 ans et pesant plus de 40 kg) :

Une dose initiale de 2 g de céfépime est recommandée chez les patients dont l'altération de la fonction rénale est légère à modérée.

Le tableau suivant indique la dose d'entretien ultérieure :

<table> <tbody><tr> <td> Clairance de la créatinine [ml/min] </td> <td colspan="2"> Dose d'entretien recommandée : Doses uniques et intervalle posologique </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Infections sévères : · Bactériémie · Pneumonie · Infections compliquées des voies urinaires (y compris pyélonéphrite) · Infections aiguës des voies biliaires </td> <td> Infections très sévères : · Infections intra-abdominales compliquées · Traitement empirique des patients atteints de neutropénie fébrile </td> </tr> <tr> <td> &gt; 50 (dose habituelle, aucune adaptation requise) </td> <td> 2 g toutes les 12 h </td> <td> 2 g toutes les 8 h </td> </tr> <tr> <td> 30-50 </td> <td> 2 g toutes les 24 h </td> <td> 2 g toutes les 12 h </td> </tr> <tr> <td> 11-29 </td> <td> 1 g toutes les 24 h </td> <td> 2 g toutes les 24 h </td> </tr> <tr> <td> ≤ 10 </td> <td> 0,5 g toutes les 24 h </td> <td> 1 g toutes les 24 h </td> </tr> </tbody></table>

Patients sous dialyse :

Chez les patients sous hémodialyse, environ 68 % de la quantité totale de céfépime présente dans le corps au début de la dialyse sera éliminée au cours d'une dialyse de 3 heures. La modélisation pharmacocinétique indique qu'une réduction de la dose est nécessaire chez ces patients. La dose suivante est recommandée :

Une dose initiale de 1 g de céfépime au premier jour de traitement, puis 500 mg par jour, sauf en cas de neutropénie fébrile, auquel cas la dose recommandée est de 1 g par jour.

Les jours de dialyse, le céfépime doit être administré après la fin de la dialyse. Si possible, le céfépime doit être administré chaque jour à la même heure.

Chez les patients sous dialyse péritonéale continue ambulatoire (DPCA), la dose recommandée est la suivante :

  • 1 g de céfépime toutes les 48 heures en cas d'infections sévères (bactériémie, pneumonie, infections compliquées des voies urinaires [y compris pyélonéphrite], infections aiguës des voies biliaires)

  • 2 g de céfépime toutes les 48 heures en cas d'infections très sévères (infections abdominales, péritonite, traitement empirique des patients atteints de neutropénie fébrile)

Nourrissons à partir de 1 mois et enfants jusqu'à 12 ans pesant ≤ 40 kg

Une dose de 50 mg/kg chez les patients âgés de 2 mois à 12 ans (voir rubrique 5.2) et une dose 30 mg/kg chez les nourrissons de 1 à 2 mois sont comparables à une dose de 2 g chez l'adulte, avec la même prolongation des intervalles posologiques, comme le montre le tableau ci-dessous.

Enfants à partir de 2 mois pesant jusqu'à 40 kg (généralement 12 ans)

<table> <tbody><tr> <td colspan="3"> Doses uniques (mg/kg de poids corporel) et intervalles posologiques </td> </tr> <tr> <td> Clairance de la créatinine [ml/min] </td> <td> Infections sévères : · Pneumonie · Infections compliquées des voies urinaires (y compris pyélonéphrite) </td> <td> Infections très sévères : · Bactériémie · Méningite bactérienne · Traitement empirique des patients atteints de neutropénie fébrile </td> </tr> <tr> <td> &gt; 50 (dose habituelle, aucune adaptation requise) </td> <td> 50 mg/kg toutes les 12 h </td> <td> 50 mg/kg toutes les 8 h </td> </tr> <tr> <td> 30-50 </td> <td> 50 mg/kg toutes les 24 h </td> <td> 50 mg/kg toutes les 12 h </td> </tr> <tr> <td> 11-29 </td> <td> 25 mg/kg toutes les 24 h </td> <td> 50 mg/kg toutes les 24 h </td> </tr> <tr> <td> ≤ 10 </td> <td> 12,5 mg/kg toutes les 24 h </td> <td> 25 mg/kg toutes les 24 h </td> </tr> </tbody></table>

Nourrissons âgés de 1 à 2 mois

<table> <tbody><tr> <td colspan="3"> Doses uniques (mg/kg de poids corporel) et intervalles posologiques </td> </tr> <tr> <td> Clairance de la créatinine [ml/min] </td> <td> Infections sévères : · Pneumonie · Infections compliquées des voies urinaires (y compris pyélonéphrite) </td> <td> Infections très sévères : · Bactériémie · Méningite bactérienne · Traitement empirique des patients atteints de neutropénie fébrile </td> </tr> <tr> <td> &gt; 50 (dose habituelle, aucune adaptation requise) </td> <td> 30 mg/kg toutes les 12 h </td> <td> 30 mg/kg toutes les 8 h </td> </tr> <tr> <td> 30-50 </td> <td> 30 mg/kg toutes les 24 h </td> <td> 30 mg/kg toutes les 12 h </td> </tr> <tr> <td> 11-29 </td> <td> 15 mg/kg toutes les 24 h </td> <td> 30 mg/kg toutes les 24 h </td> </tr> <tr> <td> ≤ 10 </td> <td> 7,5 mg/kg toutes les 24 h </td> <td> 15 mg/kg toutes les 24 h </td> </tr> </tbody></table>

Insuffisant hépatique :

Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire chez les patients présentant une altération de la fonction hépatique (voir rubrique 5.2).

Patients âgés :

Étant donné que les patients âgés sont plus susceptibles de présenter une fonction rénale réduite, la dose doit être déterminée avec prudence, et la fonction rénale du patient doit être surveillée. Une adaptation de la dose est recommandée si la fonction rénale est réduite (voir rubrique 4.4).

Durée du traitement :

La durée de traitement habituelle est de 7 à 10 jours. De manière générale, le céfépime doit être administré pendant un minimum de 7 jours, et un maximum de 14 jours par traitement. La durée habituelle du traitement empirique de la neutropénie fébrile est de 7 jours, ou jusqu'à ce que celle-ci disparaisse.

Mode d'administration

Après une reconstitution appropriée, le céfépime peut être administré par injection intraveineuse directe sur une période de 3 à 5 minutes, injectée dans la canule d'un système de perfusion lorsque que le patient reçoit un fluide i.v. compatible ou par perfusion intraveineuse sur une période de 30 minutes. Pour obtenir des informations concernant les incompatibilités et les instructions relatives à la reconstitution du produit avant son administration, voir rubriques 6.2 et 6.6.

Source : BDPM

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Contre-indications

  • Allaitement

    arrêt de l'allaitement ou du traitement
  • Altération de la fonction rénale

  • Asthme, antécédent

  • Atopie

  • Grossesse

  • Insuffisance rénale

  • Insuffisance rénale

  • Senior

  • Surdosage

interactions

Interactions

Aucune donnée disponible pour l'instant.

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Fertilité, grossesse et allaitement

Fertilité Aucune altération de la fertilité n'a été observée chez les rats. Il n'y a pas de données sur l'utilisation du céfépime et la fertilité humaine.

Grossesse

Des études de reproduction menées chez la souris, le rat et le lapin n'ont montré aucun effet néfaste sur le fœtus. Aucune étude correctement contrôlée et adéquate n'a toutefois été menée chez la femme enceinte. Les études de reproduction menées sur l'animal ne permettant pas toujours de prédire la réponse de l'être humain au traitement, ce médicament ne doit être administré pendant la grossesse qu'en cas d'absolue nécessité.

Allaitement

Le céfépime est excrété dans le lait maternel à de très faibles concentrations. Chez les femmes qui allaitent, l'utilisation du céfépime doit s'effectuer avec prudence. De plus, le nourrisson doit être étroitement surveillé.

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Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : Céphalosporines de quatrième génération, code ATC : J01DE01.

Mécanisme d'action

Le mécanisme d'action du céfépime repose sur le blocage de la synthèse de la paroi cellulaire des bactéries (durant la phase de croissance) par l'inhibition des protéines de liaison à la pénicilline (PLP), par exemple des transpeptidases. Il s'agit d'une action bactéricide.

Relation PK/PD

Le temps au-dessus de la CMI (fT > CMI) constitue la mesure pharmacocinétique-pharmacodynamique (PK/PD) qui correspond le mieux à l'activité in vivo du céfépime. La cible doit être sélectionnée de sorte qu'elle soit associée à une inactivation d'au moins 1 log. Une cible PK/PD de fT > CMI d'au moins 60-70 % (stase bactérienne) semble être requise pour la probabilité d'atteindre la cible PK/PD fixée (PTA) dans la plupart des analyses. En cas d'infections très sévères (chez des hôtes immunodéprimés), une cible PK/PD plus élevée, même de 100 %, pourrait être nécessaire.

Mécanisme de résistance :

Le céfépime possède une faible affinité pour les bêta-lactamases codées par les chromosomes et résiste fortement à l'hydrolysation par la plupart des bêta-lactamases.

La résistance des bactéries au céfépime est due à l'un ou plusieurs des mécanismes suivants :

  • affinité réduite des protéines de liaison à la pénicilline,

  • production de bêta-lactamases capables d'hydrolyser efficacement le céfépime (par ex., plusieurs bêta-lactamases à large spectre et bêta-lactamases chromosomiques),

  • imperméabilité de la membrane extérieure, ce qui restreint l'accès du céfépime aux protéines de liaison à la pénicilline des organismes à Gram négatif,

  • pompes d'efflux agissant sur les substances actives.

Il existe une résistance croisée partielle ou totale entre le céfépime et d'autres céphalosporines et pénicillines.

Seuils de ruptures des tests de sensibilité

Les seuils de concentration minimale inhibitrice (CMI) établis par le Comité européen des tests de sensibilité aux antimicrobiens (European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing -EUCAST, version 13.1, 2023-06-29) pour le céfépime sont les suivants:

<table> <tbody><tr> <td> Pathogène </td> <td> sensible </td> <td> résistant </td> </tr> <tr> <td> Enterobacterales </td> <td> ≤ 1 mg/L </td> <td> &gt; 4 mg/L </td> </tr> <tr> <td> Pseudomonas spp. </td> <td> ≤ 0.001 mg/L </td> <td> &gt; 8 mg/L </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus spp. </td> <td> note </td> <td> note </td> </tr> <tr> <td> Streptococcus des groupes A, B, C et G </td> <td> note </td> <td> note </td> </tr> <tr> <td> Streptococcus pneumoniae </td> <td> ≤ 1 mg/L </td> <td> &gt; 2 mg/L </td> </tr> <tr> <td> Streptocoques du groupe viridans </td> <td> ≤ 0,5 mg/L </td> <td> &gt; 0,5 mg/L </td> </tr> <tr> <td> Haemophilus influenzae </td> <td> ≤ 0,25 mg/L </td> <td> &gt; 0,25 mg/L </td> </tr> <tr> <td> Moraxella catarrhalis </td> <td> ≤ 4 mg/L </td> <td> &gt; 4 mg/L </td> </tr> <tr> <td> Aeromonas spp. </td> <td> ≤ 1 mg/l </td> <td> &gt; 4 mg/l </td> </tr> <tr> <td> Seuils de rupture PK/PD (non liés à l'espèce) </td> <td> ≤ 4 mg/L </td> <td> &gt; 8 mg/L </td> </tr> </tbody></table>
  1. La sensibilité des staphylocoques aux céphalosporines est déduite de la sensibilité à la céfoxitine, sauf pour la céfixime, la céftazidime, la céftazidime-avibactam, le ceftibutène et le ceftolozane-tazobactam, qui n'ont pas de seuil de rupture et ne devraient pas être utilisés dans le traitement des infections à staphylocoques. Pour les agents administrés par voie orale, il faut veiller à obtenir une exposition suffisante au site de l'infection. Si le céfotaxime et la ceftriaxone sont signalés pour des staphylocoques sensibles à la méthicilline, ceux-ci doivent être déclarés « Sensibles, exposition accrue » (I). Certains S. aureus résistants à la méthicilline sont sensibles à la ceftaroline et au ceftobiprole.2 La sensibilité des streptocoques des groupes A, B, C et G aux céphalosporines est déduite de leur sensibilité à la benzylpénicilline.

Sensibilité

La prévalence de la résistance acquise de certaines espèces peut varier géographiquement et dans le temps, et il est souhaitable d'obtenir de l'information locale sur la résistance, surtout lors du traitement d'infections graves. Il convient de demander au besoin l'avis d'un expert lorsque la prévalence locale de la résistance est telle que l'utilité de l'agent peut être, du moins dans certaines infections, mise en doute.

Le céfépime agit généralement contre les micro-organismes in vitro suivants (mise à jour : décembre 2012).

<table> <tbody><tr> <td> Espèces habituellement sensibles </td> </tr> <tr> <td> Micro-organismes aérobies à Gram positif </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus aureus (sensible à la méthicilline) </td> </tr> <tr> <td> Streptococcus pneumoniae (y compris les souches résistantes à la pénicilline) ° </td> </tr> <tr> <td> Streptococcus pyogenes ° </td> </tr> <tr> <td> Micro-organismes aérobies à Gram négatif </td> </tr> <tr> <td> Citrobacter freundii </td> </tr> <tr> <td> Enterobacter aerogenes </td> </tr> <tr> <td> Haemophilus influenzae </td> </tr> <tr> <td> Moraxella catarrhalis ° </td> </tr> <tr> <td> Morganella morganii </td> </tr> <tr> <td> Proteus mirabilis </td> </tr> <tr> <td> Proteus vulgaris ° </td> </tr> <tr> <td> Serratia liquefaciens ° </td> </tr> <tr> <td> Serratia marcescens </td> </tr> <tr> <td> Espèces susceptibles de poser un problème de résistance acquise durant l'utilisation </td> </tr> <tr> <td> Micro-organismes aérobies à Gram positif </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus aureus </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus epidermidis </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus haemolyticus </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus hominis </td> </tr> <tr> <td> Micro-organismes aérobies à Gram négatif </td> </tr> <tr> <td> Acinetobacter baumannii </td> </tr> <tr> <td> Enterobacter cloacae </td> </tr> <tr> <td> Escherichia coli </td> </tr> <tr> <td> Klebsiella oxytoca </td> </tr> <tr> <td> Klebsiella pneumoniae </td> </tr> <tr> <td> Pseudomonas aeruginosa </td> </tr> <tr> <td> Espèces intrinsèquement résistantes </td> </tr> <tr> <td> Micro-organismes aérobies à Gram positif </td> </tr> <tr> <td> Enterococcus spp. </td> </tr> <tr> <td> Listeria monocytogenes </td> </tr> <tr> <td> Staphylococcus aureus (résistant à la méthicilline) </td> </tr> <tr> <td> Micro-organismes aérobies à Gram négatif </td> </tr> <tr> <td> Stenotrophomonas maltophilia </td> </tr> <tr> <td> Micro-organismes anaérobies </td> </tr> <tr> <td> Bacteroides fragilis </td> </tr> <tr> <td> Clostridioides difficile </td> </tr> <tr> <td> Autres micro-organismes </td> </tr> <tr> <td> Chlamydia spp. </td> </tr> <tr> <td> Chlamydophila spp. </td> </tr> <tr> <td> Legionella spp. </td> </tr> <tr> <td> Mycoplasma spp. </td> </tr> </tbody></table>

° Aucune donnée récente n'était disponible au moment de la publication de ce tableau. Dans la littérature spécialisée, les travaux standards et les recommandations thérapeutiques, on part du principe qu'il existe une sensibilité.

Le taux de résistance est de plus de 50 % dans au moins une région.

Les souches de bêta-lactamases à spectre étendu (BLSE) sont toujours résistantes.

En consultation externe, le taux de résistance est < 10 %.

Source : BDPM

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  • test de Coombs positif

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