Cyclophosphamide 1 g poudre pour solution injectable/pour perfusion
Informations générales
Substance
Forme galénique
Poudre pour solution injectable/pour perfusion
Voies d'administration
Voie intramusculaire, Voie intraveineuse
Source : ANSM
Indications et autres usages documentés
- adénocarcinome du sein
- cancer bronchopulmonaire
- cancer de l'ovaire
- cancer de la vessie
- carcinome embryonnaire testiculaire
- conditionnement avant la transplantation de cellules souches hématopoïétiques
- granulomatose de Wegener
- leucémie aiguë lymphoblastique
- lupus érythémateux disséminé
- lymphome hodgkinien
- lymphome non-hodgkinien
- myélome multiple
- neuroblastome
- néphropathie auto-immune
- polyarthrite rhumatoïde
- sarcome
Source : ANSM
Posologie
CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ doit être utilisé exclusivement par un médecin expérimenté dans l'utilisation de la chimiothérapie anticancéreuse. CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ ne doit être administré que dans un lieu disposant de l'équipement requis pour la surveillance régulière des paramètres cliniques, biochimiques et hématologiques avant, pendant et après l'administration, et sous la supervision d'un service d'oncologie spécialisé.
Posologie
La posologie doit être individualisée. Les doses et la durée du traitement et/ou les intervalles entre les doses dépendent de l'indication thérapeutique, des caractéristiques d'un traitement d'association, de l'état de santé général du patient et du fonctionnement de ses organes, ainsi que des résultats des analyses biologiques (en particulier, srveillance des cellules sanguines).
En association avec d'autres agents cytostatiques de toxicité similaire, une réduction de la dose ou une prolongation des intervalles sans traitement peuvent être nécessaires.
L'utilisation d'agents stimulant l'hématopoïèse (facteurs de stimulation des colonies et agents stimulant l'érythropoïèse) peut être envisagée pour réduire le risque de complications myélosuppressives et/ou faciliter l'administration de la dose requise.
Avant, pendant et immédiatement après l'administration, des quantités adéquates de liquide doivent être ingérées ou perfusées afin de forcer la diurèse et de réduire le risque de toxicité pour les voies urinaires. Par conséquent, CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ doit être administré le matin. Voir rubrique 4.4.
Il est de la responsabilité du médecin de décider de l'utilisation du cyclophosphamide en fonction des directives thérapeutiques en vigueur.
Tumeurs hématologiques et solides
- Traitement à faible dose continu ou intermittent :
- 3 à 6 mg/kg de poids corporel (= 120 à 240 mg/mde surface corporelle), injectés par voie intraveineuse.
- Traitement intermittent :
- 10 à 15 mg/kg de poids corporel (= 400 à 600 mg/m de surface corporelle), injectés par voie intraveineuse, avec des intervalles sans traitement de 2 à 5 jours.
- Traitement intermittent à haute dose :
- 20 à 40 mg/kg de poids corporel (= 800 à 1 600 mg/m de surface corporelle), injectés par voie intraveineuse, avec des intervalles sans traitement de 21 à 28 jours.
Préparation avant une greffe de moelle osseuse
2 jours à 60 mg/kg ou 4 jours à 50 mg/kg de poids corporel, injectés par voie intraveineuse.
Si un protocole associant busulfan et cyclophosphamide (Bu/Cy) est utilisé, la première dose de cyclophosphamide doit être administrée au moins 24 heures après la dernière dose de busulfan (voir rubrique 4.4 et 4.5).
Maladies autoimmunes
500 à 1 000 mg/m de surface corporelle par mois.
Patients présentant une insuffisance hépatique
Une insuffisance hépatique sévère peut être associée à une activation réduite du cyclophosphamide, pouvant nuire à l'efficacité du traitement par cyclophosphamide. Ceci doit être pris en compte lors de la sélection de la dose et de l'interprétation de la réponse à la dose sélectionnée. (Voir rubrique 4.4.)
La dose doit être réduite chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère. Une réduction de la dose de 25 % est recommandée chez les patients ayant des concentrations sériques de bilirubine comprises entre 3,1 et 5 mg/100 ml (= 0,053 et 0,086 mmol/l).
Patients présentant une insuffisance rénale
Chez les patients présentant une insuffisance rénale, en particulier les patients ayant une insuffisance rénale sévère, une diminution de l'excrétion rénale peut avoir pour conséquence une augmentation des taux plasmatiques de cyclophosphamide et de ses métabolites, ce qui peut accroître la toxicité du médicament. Ceci doit être pris en compte lors de la détermination de la posologie chez ces patients. (Voir rubrique 4.4.) Une réduction de la dose de 50 % est recommandée en cas de débit de filtration glomérulaire inférieur à 10 ml/minute.
Le cyclophosphamide et ses métabolites sont dialysables, bien qu'il puisse exister des différences de clairance selon le système de dialyse utilisé. Chez les patients nécessitant une dialyse, l'utilisation d'un intervalle constant entre l'administration du cyclophosphamide et la dialyse doit être envisagée. Voir rubrique 4.4.
Population âgée
En raison de la plus grande fréquence des dysfonctionnements hépatiques, rénaux, cardiaques ou d'autres organes, ainsi que des maladies associées ou autres traitements médicamenteux concomitants chez les sujets âgés, il convient d'adapter la surveillance des toxicités et de procéder aux adaptations posologiques éventuellement nécessaires dans cette population.
Population pédiatrique
Le cyclophosphamide a été administré à des enfants. Le profil de tolérance du cyclophosphamide chez les enfants est similaire à celui des adultes.
Modification posologiques due à une myélosuppression
Une numération leucocytaire et plaquettaire doit être réalisée régulièrement au cours du traitement par cyclophosphamide. Il est recommandé d'adapter la dose, si nécessaire, si des signes de myélosuppression apparaissent.
Veuillez consulter le tableau ci-dessous. La présence d'érythrocytes dans les sédiments urinaires doit également être recherchée régulièrement.
<table> <tbody><tr> <td> Nombre de leucocytes/μl </td> <td> Nombre de plaquettes/μl </td> <td> Dose </td> </tr> <tr> <td> > 4 000 </td> <td> > 100 000 </td> <td> 100 % de la dose prévue </td> </tr> <tr> <td> 2 500 à 4 000 </td> <td> 50 000 à 100 000 </td> <td> 50 % of the dose prévue </td> </tr> <tr> <td> < 2 500 </td> <td> < 50 000 </td> <td> Attendre la normalisation des valeurs pour administrer le traitement ou décider individuellement </td> </tr> </tbody></table>En cas de traitement d'association, des réductions supplémentaires de la dose peuvent être nécessaires.
Mode d'administration
Le cyclophosphamide est inerte jusqu'à ce qu'il soit activé par des enzymes dans le foie. Toutefois, comme pour tous les agents cytotoxiques, il est recommandé de confier la reconstitution à des personnes ayant été spécifiquement formées, dans une zone prévue à cet effet.
Précautions à prendre avant la manipulation ou l'administration du médicament
Les personnes manipulant la préparation doivent porter des gants de protection. Il convient de prendre soin d'éviter les éclaboussures dans les yeux. Le médicament ne doit pas être manipulé par des femmes enceintes ou qui allaitent.
Le choix du diluant pour la reconstitution de CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ contenant du cyclophosphamide dépend de la voie d'administration utilisée.
Perfusion
Si la solution doit être utilisée en perfusion IV, CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ (contenant du cyclophosphamide) est reconstitué par ajout d'eau pour préparations injectables stérile ou de solution de chlorure de sodium stérile à 0,9 %.
CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ reconstitué doit encore être dilué dans le dextrose à 5 % ou le chlorure de sodium à 0,9 % pour injection avant perfusion.
Injection directe
Si la solution doit être utilisée en injection directe, CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ (contenant du cyclophosphamide) est reconstitué par ajout d'une solution de chlorure de sodium stérile à 0,9 %.
Veuillez noter que seul CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ reconstitué dans une solution de chlorure de sodium stérile à 0,9 % est adapté à une injection en bolus.
CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ (contenant du cyclophosphamide) reconstitué dans l'eau est hypotonique et ne doit pas être injecté directement.
Pour les instructions concernant la reconstitution du médicament avant administration, voir la rubrique 6.6.
Utilisation intraveineuse
L'administration intraveineuse doit de préférence être réalisée par perfusion.
Afin de réduire la probabilité d'effets indésirables, qui dépendent de la vitesse d'administration (par exemple, œdème du visage, céphalée, congestion nasale, brûlure du cuir chevelu), le cyclophosphamide doit être injecté ou perfusé très lentement. La durée de la perfusion (comprise entre 30 minutes et 2 heures) doit être adaptée au volume et au type de liquide administré.
Avant administration parentérale, la substance doit être totalement dissoute.
Les médicaments à administration parentérale doivent faire l'objet d'une inspection visuelle afin de détecter toute présence de particules ou de décoloration avant l'administration, à chaque fois que la solution et le contenant le permettent.
Source : BDPM
Contre-indications
Allaitement
Cystite hémorragique
Femme en âge de procréer
Grossesse
Infection urinaire
Insuffisance médullaire
Leucopénie
Obstruction des voies urinaires
Thrombopénie
Source : ANSM
Interactions
cyclophosphamide <> millepertuisContre-indication
cytotoxiques <> vaccins vivants atténuésContre-indication
cyclophosphamide <> inducteurs enzymatiquesAssociation DECONSEILLEE
cyclophosphamide <> pentostatineAssociation DECONSEILLEE
cytotoxiques <> olaparibAssociation DECONSEILLEE
cytotoxiques <> phénytoïne (et, par extrapolation, fosphénytoïne)Association DECONSEILLEE
cytotoxiques <> antivitamines KPrécaution d'Emploi
cytotoxiques <> flucytosineA prendre en compte
cytotoxiques <> immunosuppresseursA prendre en compte
Source : Thesaurus
Fertilité, grossesse et allaitement
Les femmes en âge de procréer
Les jeunes filles traitées par cyclophosphamide durant la période prépubertaire développent généralement les caractères sexuels secondaires normalement et ont des règles régulières.
Les jeunes filles traitées par cyclophosphamide durant la période prépubertaire ont conçu des enfants par la suite.
Les jeunes filles traitées par cyclophosphamide ayant conservé leur fonction ovarienne après le traitement présentent un risque accru de développement d'une ménopause prématurée (arrêt des cycles menstruels avant l'âge de 40 ans).
Contraception chez les hommes et les femmes
Les femmes ne doivent pas débuter de grossesse durant le traitement et pendant une période de 12 mois après l'arrêt du traitement.
Les hommes ne doivent pas faire d'enfant durant le traitement et pendant une période de 6 mois après l'arrêt du traitement.
Les femmes et les hommes sexuellement actifs doivent utiliser des méthodes efficaces de contraception pendant ces périodes.
Grossesse
Des données très limitées sont disponibles concernant l'utilisation de cyclophosphamide chez les femmes enceintes. De multiples malformations congénitales sévères ont été décrites après une utilisation durant le troisième trimestre. Dans les études réalisées chez des animaux ont montré un potentiel tératogène et une toxicité pour la reproduction (voir rubrique 5.3).
Sur la base des événements observés dans l'espèce humaine, les études réalisées chez des animaux et du mécanisme d'action, l'utilisation de cyclophosphamide pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre, n'est pas recommandée.
Au cas par cas, les bénéfices potentiels du traitement doivent être mis en balance avec les risques potentiels pour le fœtus.
Allaitement
Le cyclophosphamide est excrété dans le lait maternel et peut causer une neutropénie, une thrombocytopénie, un faible taux d'hémoglobine et une diarrhée chez les enfants. Le cyclophosphamide est contre-indiqué pendant l'allaitement (voir rubrique 4.3).
Fertilité
Le cyclophosphamide interfère avec l'ovogenèse et la spermatogenèse. Il peut provoquer une stérilité chez les deux sexes. Chez les femmes, le cyclophosphamide peut provoquer une aménorrhée transitoire ou permanente et, chez les jeunes garçons traités par cyclophosphamide durant la période prépubertaire, une oligospermie ou une azoospermie. Avant le traitement des hommes par le cyclophosphamide, ils doivent être informés de la possibilité de stocker et de conserver du sperme viable collecté.
Source : BDPM
Propriétés pharmacologiques
Classe pharmacothérapeutique : Agents antinéoplasiques et immunomodulateurs ; Agents antinéoplasiques. Agents alkylants. Analogues de moutarde azotée
Code ATC : L01AA01.
L'action cytotoxique du cyclophosphamide est démontrée dans un grand nombre de tumeurs différentes.
Il est supposé que le cyclophosphamide influence la phase G2 ou S du cycle cellulaire.
Il reste à démontrer si l'effet cytostatique est entièrement dépendant de l'alkylation de l'ADN ou d'autres mécanismes comme une inhibition des processus de transformation de la chromatine ou une inhibition de l'ADN polymérases jouent un rôle. Le métabolite acroléine n'a aucune activité antinéoplasique, mais il est responsable de l'effet indésirable urotoxique.
L'effet immunosuppresseur du cyclophosphamide est basé sur le fait que le cyclophosphamide a un effet inhibiteur sur les cellules B, les cellules T CD4+ et dans une moindre mesure sur les cellules T CD8+. De plus, il est supposé que le cyclophosphamide a un effet inhibiteur sur le suppresseur qui régule la classe d'anticorps IgG2.
La résistance croisée, en particulier avec des agents cytotoxiques structurellement liés, par exemple, ifosfamide, ainsi que d'autres agents alkylants, ne peut être exclue.
Source : BDPM
Effets indésirables
acouphène
affection unguéale
agranulocytose
alanine aminotransférase augmentée
alopécie
altération de la couleur cutanée
altération de la couleur unguéale
altération de la fonction hépatique
altération de la vision
alvéolite allergique
aménorrhée
anorexie
anémie
arrêt cardiocirculatoire
arthralgie
arythmie supraventriculaire
arythmie ventriculaire
ascite
asthénie
atrophie testiculaire
atteinte rénale
augmentation de l'aspartate aminotransférase (ASAT)
augmentation de l'urémie
augmentation de la créatininémie
augmentation de la gamma-glutamyltransférase
augmentation de la lactate déshydrogénase sanguine
augmentation de la phosphatase alcaline sanguine
augmentation de la protéine C-réactive
augmentation des enzymes hépatiques
azoospermie
bouffée de chaleur
bouffée vasomotrice
bradycardie
bronchiolite oblitérante
bronchospasme
cancer de l'uretère
cancer de la thyroïde
cancer de la vessie
cancer du bassinet
carcinome à cellules rénales
cardiomyopathie
cardite
cellule épithéliale atypique de la vessie urinaire
choc anaphylactique
choc cardiogénique
choc septique
cholestase
coagulation intravasculaire disséminée
colite
congestion nasale
conjonctivite
constipation
convulsion
cystite
cystite hémorragique
cystite ulcéreuse
céphalée
dermatite
dermite radio-induite
diabète insipide néphrogénique
diarrhée
diminution de l'hémoglobine
diminution de la fraction d'éjection
diminution de la pression artérielle
diminution des estrogènes sanguins
diminution des taux sanguins de gonadotrophines
douleur
douleur abdominale
douleur au site de perfusion
douleur oropharyngée
douleur thoracique
dysesthésie
dysfonction ventriculaire gauche
dysgueusie
dyspnée
décès intra-utérin
défaillance multiviscérale
détresse respiratoire
détérioration générale de l'état de santé
effet carcinogène sur la descendance
embolie pulmonaire
encéphalopathie
encéphalopathie hépatique
entérite
entérocolite hémorragique
fatigue
fibrillation auriculaire
fibrillation ventriculaire
fibrose pulmonaire
fibrose vésicale
frisson
gastro-entérite
granulocytopénie
gêne abdominale
gêne nasale
hyperbilirubinémie
hyperglycémie
hyperhidrose
hypersensibilité
hypersécrétion lacrymale
hypertension artérielle
hypertension pulmonaire
hypoesthésie
hypoglycémie
hypogueusie
hyponatrémie
hypotension artérielle
hypoxie
hématurie
hémorragie
hémorragie gastro-intestinale
hémorragie myocardique
hépatite
hépatite cholestatique
hépatite cytolytique
hépatite virale
hépatomégalie
hépatotoxicité
ictère
immunodépression
infarctus du myocarde
infection bactérienne
infection fongique
infection parasitaire
infection protozoaire
infection virale
infection à Pneumocystis jirovecii
inflammation au site de perfusion
inflammation du cæcum
inflammation muqueuse
insuffisance cardiaque
insuffisance cardiaque congestive
insuffisance hépatique
insuffisance médullaire
insuffisance ovarienne
insuffisance respiratoire
insuffisance rénale
insuffisance ventriculaire gauche
intoxication par l'eau
ischémie périphérique
leucoencéphalopathie multifocale progressive
leucopénie
leucémie
leucémie aiguë promyélocytaire
leucémie myéloïde
lymphome
lymphome non hodgkinien
lymphopénie
maladie hépatique veino-occlusive
maladie veino-occlusive pulmonaire
malaise
malformation fœtale
microangiopathie thrombotique
myalgie
myocardite
myélopathie
myélosuppression
nausée
neuropathie périphérique
neurotoxicité
neutropénie
neutropénie fébrile
nécrose au site de perfusion
nécrose tubulaire rénale
nécrose vésicale
néphropathie toxique
névralgie
oedème au site de perfusion
oedème de la face
oligoménorrhée
oligospermie
palpitation
pancréatite
pancytopénie
paresthésie
parosmie
parotidite
phlyctène
phlébite au site de perfusion
pneumonie
pneumonie organisée
pneumopathie
pneumopathie interstitielle
polyneuropathie
progression d'une tumeur maligne
prolongation de l'intervalle QT
prurit
péricardite
rash
retard de croissance intra-utérin
rhabdomyolyse
rhinorrhée
réaction anaphylactique
réaction anaphylactoïde
réaction au site d'injection
réaction liée à la perfusion
réactivation d'une infection
rétention hydrique
sarcome
sclérodermie
sepsis
spasticité musculaire
stomatite
strongyloïdose
stérilité
surdité
syndrome de Lyell
syndrome de Stevens-Johnson
syndrome de détresse respiratoire aiguë
syndrome de lyse tumorale
syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible
syndrome grippal
syndrome hémolytique et urémique
syndrome myélodysplasique
sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique
tachycardie
tachycardie ventriculaire
tamponnade cardiaque
thrombocytopénie
thrombose au site d'injection
thrombose veineuse
toux
toxicité fœtale
travail prématuré
tremblement
trouble de l'ovulation
trouble des tubules rénaux
trouble ovarien
tuberculose
tumeur secondaire
ulcération muqueuse
urticaire
urétérite hémorragique
vasculite
vertige
vessie contractée
vision trouble
vomissement
zona
épanchement pleural
épanchement péricardique
éruption cutanée toxique
érythrodysesthésie palmo-plantaire
érythème
érythème au site de perfusion
érythème polymorphe
état confusionnel
état fébrile
éternuement
œdème
œdème pulmonaire
Source : ANSM
Liste des spécialités disponibles
- Commercialisé
CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ 1000 mg, poudre pour solution injectable ou pour perfusion
- Commercialisé
ENDOXAN 1000 mg, poudre pour solution injectable
Source : BDPM
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