Dapoxétine (chlorhydrate) 30 mg comprimé

pill

Informations générales

Source : ANSM

indication

Indications et autres usages documentés

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Posologie

Posologie

Hommes adultes (âgés de 18 à 64 ans)

La dose initiale recommandée pour tous les patients est de 30 mg, prise suivant les besoins environ 1 à 3 heures avant l'activité sexuelle. Le traitement par PRILIGY ne doit pas être initié à la dose de 60 mg.

PRILIGY n'est pas destiné à une utilisation quotidienne en continu. PRILIGY doit être pris seulement lorsqu'une activité sexuelle est prévue. PRILIGY ne doit pas être pris plus d'une fois par 24 heures.

Si la réponse individuelle à 30 mg est insuffisante et si le patient n'a pas subi d'effets indésirables modérés ou graves ou de symptômes précurseurs potentiels évocateurs d'une syncope, la dose pourrait être augmentée à une dose maximale recommandée de 60 mg, prise selon les besoins environ 1 à 3 heures avant l'activité sexuelle. L'incidence et la sévérité des évènements indésirables sont plus élevées avec la dose de 60 mg.

Si le patient a présenté des réactions orthostatiques à la dose initiale, aucune augmentation de dose à 60 mg ne doit être réalisée (voir rubrique 4.4).

Une évaluation minutieuse du bénéfice risque individuel de PRILIGY doit être effectuée par le médecin après les quatre premières semaines de traitement (ou au moins après 6 doses de traitement) pour déterminer si la poursuite du traitement par PRILIGY est appropriée.

Les données relatives à l'efficacité et à la sécurité de PRILIGY au-delà de 24 semaines sont limitées. Le besoin clinique de poursuivre et l'équilibre du bénéfice-risque du traitement par PRILIGY doivent être réévalués au moins tous les six mois.

Sujets âgés (65 ans et plus)

L'efficacité et la sécurité de PRILIGY n'ont pas été établies chez les patients âgés de 65 ans et plus (voir rubrique 5.2).

Population pédiatrique

Il n'y a pas d'utilisation justifiée de PRILIGY dans la population pédiatrique dans l'indication de l'éjaculation précoce.

Patients insuffisants rénaux

La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. L'utilisation de PRILIGY n'est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (voir rubriques 4.4 et 5.2).

Patients insuffisants hépatiques

PRILIGY est contre-indiqué chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée et sévère (Child Pugh - Classe B et C) (voir rubriques 4.3 et 5.2).

Métaboliseurs lents connus du CYP2D6 ou patients traités par des inhibiteurs puissants du CYP2D6

La prudence est recommandée si la dose est augmentée à 60 mg chez les patients connus comme ayant un génotype de métaboliseur lent du CYP2D6 ou chez les patients traités en concomitance par des inhibiteurs puissants du CYP2D6 (voir rubriques 4.4, 4.5 et 5.2).

Patients traités par des inhibiteurs modérés ou puissants du CYP3A4

L'utilisation concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 est contre-indiquée. Chez les patients traités en concomitance par des inhibiteurs modérés du CYP3A4, la dose doit être limitée à 30 mg et la prudence est recommandée (voir rubriques 4.3, 4.4 et 4.5).

Mode d'administration

Voie orale. Les comprimés doivent être avalés entiers pour éviter leur goût amer. II est recommandé de prendre les comprimés avec au moins un grand verre d'eau. PRILIGY peut être pris avec ou sans nourriture (voir rubrique 5.2).

Précautions à prendre avant la manipulation ou l'administration du médicament

Avant d'instaurer le traitement, voir rubrique 4.4 concernant l'hypotension orthostatique.

Source : BDPM

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Contre-indications

  • < 18 ans

  • Bloc auriculo-ventriculaire

  • Cardiopathie ischémique

  • Dysfonction sinusale

  • Dépression, antécédent

  • Epilepsie non contrôlée

  • Hypomanie, antécédent

  • Hypotension orthostatique, antécédent

  • Insuffisance cardiaque

  • Insuffisance hépatique

  • Manie, antécédent

  • Syncope, antécédent

  • Trouble bipolaire, antécédent

  • Valvulopathie

interactions

Interactions

dapoxétine <> inhibiteurs puissants du CYP3A4
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> IMAO irréversibles
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.
Conduite à tenir
Respecter un délai de deux semaines entre l'arrêt de l'IMAO et le début du traitement par l'antidépresseur sérotoninergique, et d'au moins une semaine entre l'arrêt de l'antidépresseur sérotoninergique (sauf pour la fluoxétine : cinq semaines) et le début.
dapoxétine <> inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> IMAO-A réversibles, y compris oxazolidinones et bleu de méthylène
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.
Conduite à tenir
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique très étroite. Débuter l'association aux posologies minimales recommandées.
médicaments sédatifs <> alcool (boisson ou excipient)
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Conduite à tenir
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> antidépresseurs imipraminiques
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation des concentrations plasmatiques de l'antidépresseur imipraminique avec risque de convulsions et augmentation des effets indésirables.
Conduite à tenir
Surveillance clinique accrue et, si nécessaire, adaptation posologique.
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> cobimétinib
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation du risque hémorragique.
Conduite à tenir
Surveillance clinique.
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> lithium
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique.
Conduite à tenir
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> millepertuis
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique.
Conduite à tenir
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.
résines chélatrices <> médicaments administrés par voie orale
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
La prise de résine chélatrice peut diminuer l’absorption intestinale et, potentiellement, l’efficacité d’autres médicaments pris simultanément.
Conduite à tenir
D’une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants <> médicaments administrés par voie orale
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément.
Conduite à tenir
Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
dapoxétine <> médicaments à l'origine d'une hypotension orthostatique (sauf inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5)
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> IMAO-B
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> anti-inflammatoires non stéroïdiens
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Majoration du risque hémorragique.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> antiagrégants plaquettaires
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation du risque hémorragique.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> anticoagulants oraux
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation du risque hémorragique.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> cyproheptadine
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de diminution de l'efficacité de l'antidépresseur.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> orlistat
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'échec thérapeutique en cas de traitement concomitant par orlistat.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> tramadol
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'apparition de convulsions et/ou d'un syndrome sérotoninergique.
Conduite à tenir
-
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine <> triptans
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique.
Conduite à tenir
-
laxatifs (type macrogol) <> médicaments administrés par voie orale
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Avec les laxatifs, notamment en vue d’explorations endoscopiques: risque de diminution de l’efficacité du médicament administré avec le laxatif.
Conduite à tenir
Eviter la prise d’autres médicaments pendant et après l’ingestion dans un délai d’au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu’à la réalisation de l’examen.
médicaments sédatifs (sauf oxybate de sodium) <> autres médicaments sédatifs (sauf oxybate de sodium)
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Conduite à tenir
-
side-effect

Fertilité, grossesse et allaitement

L'utilisation de PRILIGY n'est pas indiquée chez les femmes.

Les études animales n'indiquent pas d'effets nocifs directs ou indirects sur la fertilité, la grossesse ou le développement embryonnaire ou fœtal (voir rubrique 5.3).

On ne sait pas si la dapoxétine ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel.

Source : BDPM

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Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : Autres médicaments du système urologique, code ATC : G04BX14.

Mécanisme d'action

La dapoxétine est un puissant inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS), avec une CI50 de 1,12 nM, tandis que ses principaux métabolites humains, la desméthyldapoxétine (CI50 < 1,0 nM) et la didesméthyldapoxétine (CI50 = 2,0 nM) sont équivalentes ou moins puissantes (dapoxétine-N-oxyde (CI50 = 282 nM)).

L'éjaculation humaine est principalement médiée par le système nerveux sympathique. Le processus éjaculatoire provient d'un réflexe spinal central, médié par le tronc cérébral, initialement influencé par un certain nombre de noyaux du cerveau (noyau préoptique médian et noyau paraventriculaire).

Le mécanisme d'action de la dapoxétine dans l'éjaculation précoce est présumé lié à l'inhibition de la recapture neuronale de la sérotonine et à la potentialisation subséquente de l'action du neurotransmetteur au niveau des récepteurs pré- et post-synaptiques.

Chez le rat, la dapoxétine inhibe le réflexe d'expulsion éjaculatoire en agissant au niveau supraspinal dans le noyau paragigantocellulaire latéral (LPGi). Les fibres sympathiques post-ganglionnaires qui innervent les vésicules séminales, le canal déférent, la prostate, les muscles bulbo-urétraux et le col vésical provoquent la contraction de ces organes de façon coordonnée afin d'obtenir une éjaculation. La dapoxétine module ce réflexe éjaculatoire chez le rat.

Efficacité et sécurité clinique

L'efficacité de PRILIGY dans le traitement de l'éjaculation précoce a été établie dans cinq essais cliniques en double aveugle, contrôlés versus placebo, dans lesquels un total de 6 081 sujets ont été randomisés. Les patients étaient âgés de 18 ans ou plus et avaient eu des antécédents d'EP dans la majorité de leurs rapports sexuels au cours des 6 mois précédant le recrutement. L'éjaculation précoce a été définie selon les critères de diagnostic du DSM-IV : temps éjaculatoire court (temps de latence d'éjaculation intravaginale [IELT- délai entre la pénétration vaginale et l'éjaculation intravaginale] ≤ 2 minutes mesuré à l'aide d'un chronomètre dans les quatre études), un mauvais contrôle de l'éjaculation, une souffrance importante ou des difficultés interpersonnelles conséquentes à l'état de santé.

Les sujets présentant d'autres formes de dysfonctionnement sexuel, y compris une dysfonction érectile, ou ceux utilisant d'autres formes de pharmacothérapie pour le traitement de l'EP, ont été exclus de toutes les études.

Les résultats de toutes les études randomisées ont été cohérents. L'efficacité a été démontrée après 12 semaines de traitement. Une étude a recruté des patients en dehors et au sein de l'UE et a eu une durée de traitement de 24 semaines. Dans l'étude, 1 162 sujets ont été randomisés, 385 dans un groupe placebo, 388 dans un groupe recevant PRILIGY 30 mg selon les besoins et 389 dans un groupe recevant PRILIGY 60 mg selon les besoins. La valeur moyenne et médiane de l'IELT Moyen à la fin de l'étude est présentée dans le Tableau 2 ci-dessous et la distribution cumulative des sujets qui ont obtenu au moins un niveau spécifique dans l'IELT Moyen à la fin de l'étude sont présentés dans le Tableau 3 ci-dessous. D'autres études et analyses groupées des données à la Semaine 12 ont donné des résultats cohérents.

<table> <tbody><tr> <td colspan="4"> Tableau 2 : Valeur moyenne et médiane par moindres carrés de l'IELT Moyen à la fin de l'étude\* </td> </tr> <tr> <td> Moyenne IELT </td> <td> Placebo </td> <td> PRILIGY 30 mg </td> <td> PRILIGY 60 mg </td> </tr> <tr> <td> Médiane </td> <td> 1,05 min </td> <td> 1,72 min </td> <td> 1,91 min </td> </tr> <tr> <td> Différence avec le placebo [IC 95%] </td> <td> </td> <td> 0,6 min\*\* [0,37 ; 0,72] </td> <td> 0,9 min\*\* [0,66 ; 1,06] </td> </tr> <tr> <td> Moyenne par moindres carrés </td> <td> 1,7 min </td> <td> 2,9 min </td> <td> 3,3 min </td> </tr> <tr> <td> Différence avec le placebo [IC 95%] </td> <td> </td> <td> 1,2 min\*\* [0,59 ; 1,72] </td> <td> 1,6 min\*\* [1,02 ; 2,16] </td> </tr> <tr> <td colspan="4"> \*Valeur initiale reportée pour les sujets ne présentant pas de donnée après le début de l'étude. \*\*La différence était statistiquement significative (valeur p≤0,001). </td> </tr> <tr> <td colspan="4"> Tableau 3 : Sujets atteignant au moins un niveau spécifique dans l'IELT Moyen à la fin de l'étude\* </td> </tr> <tr> <td> IELT (min) </td> <td> Placebo % </td> <td> PRILIGY 30 mg % </td> <td> PRILIGY 60 mg % </td> </tr> <tr> <td> ≥1,0 </td> <td> 51,6 </td> <td> 68,8 </td> <td> 77,6 </td> </tr> <tr> <td> ≥2,0 </td> <td> 23,2 </td> <td> 44,4 </td> <td> 47,9 </td> </tr> <tr> <td> ≥3,0 </td> <td> 14,3 </td> <td> 26,0 </td> <td> 37,4 </td> </tr> <tr> <td> ≥4,0 </td> <td> 10,4 </td> <td> 18,4 </td> <td> 27,6 </td> </tr> <tr> <td> ≥5,0 </td> <td> 7,6 </td> <td> 14,3 </td> <td> 19,6 </td> </tr> <tr> <td> ≥6,0 </td> <td> 5,0 </td> <td> 11,7 </td> <td> 14,4 </td> </tr> <tr> <td> ≥7,0 </td> <td> 3,9 </td> <td> 9,1 </td> <td> 9,8 </td> </tr> <tr> <td> ≥8,0 </td> <td> 2,9 </td> <td> 6,5 </td> <td> 8,3 </td> </tr> <tr> <td colspan="4"> \*Valeur initiale reportée pour les sujets ne présentant pas de donnée après le début de l'étude. </td> </tr> </tbody></table>

Le degré d'allongement de l'IELT était lié à l'IELT initial et variait pour chaque sujet. La pertinence clinique des effets du traitement par PRILIGY est encore démontrée en termes de différentes mesures des résultats rapportés par des patients et une analyse des réponses.

Un répondeur est défini comme un sujet ayant eu une augmentation d'au moins de 2 catégories dans le contrôle de l'éjaculation et une réduction d'au moins une catégorie dans la souffrance liée à l'éjaculation. Un pourcentage significativement plus élevé de sujets ont répondu dans chacun des groupes PRILIGY comparé au groupe placebo à la fin de l'étude à la Semaine 12 ou 24. Il y eu un pourcentage plus élevé de patients répondeurs dans le groupe recevant de la dapoxétine à 30 mg (11,1% - IC 95% [7,24 ; 14,87]) et 60 mg (16,4% - IC 95% [13,01 ; 19,75]) par rapport au groupe placebo à la Semaine 12 (analyse groupée).

La pertinence clinique des effets du traitement par PRILIGY est représentée par groupe de traitement, selon l'échelle d'impression clinique globale de changement (Clinical Global Impression of Change - CGIC), selon laquelle les sujets ont comparé leur propre éjaculation précoce depuis le début de l'étude, les options de réponse allant de « Bien mieux » à « Bien pire ». À la fin de l'étude (Semaine 24), 28,4% (groupe recevant la dose de 30 mg) et 35,5% (groupe recevant la dose de 60 mg) des sujets ont signalé comme allant « mieux » ou « beaucoup mieux », comparé à 14% dans le groupe placebo, tandis que 53,4% et 65,6% des sujets traités avec les doses de dapoxétine à 30 mg et 60 mg, respectivement, ont déclaré comme allant au moins « un peu mieux », comparé à 28,8% dans le groupe placebo.

Source : BDPM

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Effets indésirables

  • céphalée

  • nausée

  • sensation vertigineuse

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Source : BDPM

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