Oralair 300 ir, comprimé sublingual

indication

Indications et autres usages documentés

side-effect

Posologie

Un traitement par ORALAIR ne doit être prescrit et initié que par des médecins formés et expérimentés dans le traitement des maladies allergiques. Le traitement chez l'enfant devra être conduit par un médecin formé et expérimenté dans le traitement des maladies allergiques de l'enfant.

La première prise du comprimé ORALAIR doit être effectuée sous surveillance médicale pendant 30 minutes.

Posologie

Le traitement se compose d'une phase d'initiation (incluant une augmentation progressive de la dose sur une durée de 3 jours) et d'une phase d'entretien.

Traitement d'initiation

<table> <tbody><tr> <td> Jour 1 </td> <td> 1 comprimé de 100 IR </td> </tr> <tr> <td> Jour 2 </td> <td> 2 comprimés de 100 IR en même temps </td> </tr> <tr> <td> Jour 3 </td> <td> 1 comprimé de 300 IR </td> </tr> </tbody></table>

Il est recommandé d'augmenter la dose d'ORALAIR sur une période de trois jours, selon le schéma posologique suivant pour atteindre la dose d'entretien :

La période d'augmentation progressive de la dose peut être prolongée si le médecin le juge nécessaire en fonction de l'état du patient.

Traitement d'entretien

La dose pour les adultes, les adolescents et les enfants est de 300 IR par jour.

Le traitement d'entretien doit être poursuivi avec un comprimé sublingual ORALAIR 300 IR par jour jusqu'à la fin de la saison pollinique.

Le traitement doit être initié environ 4 mois avant le début estimé de la saison pollinique et poursuivi jusqu'à la fin de la saison pollinique.

Durée de traitement :

Les recommandations internationales préconisent une durée de traitement au moins de 3 ans par une immunothérapie allergénique pour observer une efficacité sur le long terme après l'arrêt du traitement.

Lorsqu'il n'y a pas d'amélioration significative des symptômes au cours de la première saison pollinique, la poursuite du traitement n'est pas justifiée.

Généralement, si le traitement est interrompu moins de 7 jours, il peut être poursuivi. En cas d'interruption du traitement pendant une durée supérieure à 7 jours, il est recommandé de poursuivre le traitement sous surveillance médicale.

Population spécifique

Il n'y a pas d'expérience clinique concernant l'immunothérapie par ORALAIR chez les patients âgés de plus de 65 ans.

Population pédiatrique

La sécurité et l'efficacité d'ORALAIR chez les enfants âgés de moins de 5 ans n'ont pas été établies.

Aucune donnée concernant le traitement avec ORALAIR chez les enfants au-delà d'une saison pollinique n'est disponible.

La posologie à utiliser chez les adolescents et les enfants à partir de 5 ans est la même que chez les adultes.

Mode d'administration

Le comprimé sublingual doit être placé sous la langue jusqu'à sa dissolution complète (pendant au moins 1 minute) avant d'être avalé.

Il est recommandé de prendre le comprimé pendant la journée lorsque la bouche est vide. Ne pas absorber d'aliment ou de boisson pendant les 5 minutes qui suivent la prise du médicament.

Source : BDPM

side-effect

Contre-indications

  • Asthme

    Avec VEMS < 80 % de la valeur théorique
  • Asthme

    Au cours des 3 derniers mois
  • Asthme non contrôlé

    Avec VEMS < 80 % de la valeur théorique
  • Déficit immunitaire

  • Grossesse

  • Immunodépression

  • Inflammation buccale

    Telles que lichen plan, ulcérations ou mycoses
  • Maladie autoimmune

  • Maladie autoimmune non contrôlée

  • Tumeur maligne

interactions

Interactions

Aucune donnée disponible pour l'instant.

side-effect

Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Il n'existe pas de donnée clinique sur l'utilisation d'ORALAIR chez la femme enceinte.

Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects sur la reproduction (voir rubrique 5.3).

Un traitement par ORALAIR ne doit pas être initié au cours de la grossesse (voir rubrique 4.3) en raison du risque potentiel de réactions allergiques systémiques graves (réactions anaphylactiques). En cas de survenue de grossesse en cours de traitement, l'utilisation d'ORALAIR peut être poursuivie si nécessaire mais sous étroite surveillance.

Allaitement

L'excrétion de l'extrait allergénique de pollens de 5 graminées dans le lait maternel n'est pas connue.

Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'initiation d'une immunothérapie au cours de l'allaitement.

Cependant, dans la mesure où l'exposition systémique à la substance active d'ORALAIR de la femme qui allaite est négligeable, l'utilisation d'ORALAIR peut être envisagée pendant l'allaitement en tenant compte du bénéfice du traitement pour la mère et du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant.

Fertilité

Il n'existe pas de données chez l'homme concernant l'effet d'ORALAIR sur la fertilité.

Aucune étude sur la fertilité n'a été effectuée chez l'animal avec la substance active d'ORALAIR. L'examen histopathologique des organes reproducteurs mâles et femelles au cours des études de toxicité dose répétée avec l'extrait allergénique de pollens de 5 graminées n'a cependant pas révélé d'effet délétère.

side-effect

Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : Extraits allergéniques, pollen de graminées, code ATC : V01AA02.

Mécanisme d'action et effets pharmacodynamiques

ORALAIR est utilisé pour traiter des patients ayant des symptômes d'allergie médiée par des IgE spécifiques, de type rhinite allergique avec ou sans une conjonctivite, provoqués par les pollens de graminées.

Le système immunitaire est la cible de l'effet pharmacodynamique. L'objectif est d'induire une réponse immunitaire contre l'allergène avec lequel est traité le patient. Le mode d'action complet et exact de l'immunothérapie spécifique n'est pas entièrement connu et documenté. Le traitement par ORALAIR a montré qu'il induit une réponse systémique compétitive des anticorps anti-graminées et une augmentation des IgG spécifiques. La signification clinique de ces résultats n'a pas été établie.

Efficacité et sécurité clinique

Etude VO34.04

Une étude européenne multicentrique multinationale, randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo a été menée. L'étude a inclus 628 adultes présentant une rhinite et/ou rhinoconjonctivite allergique saisonnière aux pollens de graminées, confirmée par des tests cutanés et/ou la présence d'IgE spécifiques aux pollens de graminées.

Les patients ont été randomisés dans 4 groupes : placebo (n = 156), ORALAIR 100 IR/jour (n = 157), ORALAIR 300 IR/jour (n = 155) et ORALAIR 500 IR/Jour (n = 160).

Chaque patient a reçu une dose sublinguale, quotidienne, pendant environ 4 mois avant le début de la saison pollinique et pendant toute une saison pollinique. L'analyse des résultats était basée sur 569 patients évaluables (placebo : n = 148; ORALAIR 100 IR : n = 142 ; ORALAIR 300 IR : n = 136 ; ORALAIR 500 IR : n = 143). L'efficacité a été déterminée en fonction du score total de symptômes de rhinoconjonctivite (voir détail du score plus bas) durant cette saison pollinique unique.

Les résultats de cette étude ont montré une efficacité comparable des doses 500 IR et 300 IR, avec des données de sécurité en faveur de la dose 300 IR, établissant ainsi la posologie préconisée à 300 IR par jour.

Les résultats concernant l'efficacité de la dose 300 IR par rapport au groupe placebo (le nombre de sujets inclus dans la population en Intention de Traiter (ITT) était de 136 pour ORALAIR et 148 pour le placebo) ont été les suivants :

Étude VO34.04 : résultats sur les critères d'efficacité (au cours d'une seule saison pollinique)

Critère de jugement principal :

<table> <tbody><tr> <td>

Étude VO34.04

</td> <td> ORALAIR 300IR Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Placebo Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Diff. absolue ajustée Moyenne [IC 95%] </td> <td> Diff. relative moyenne\* % </td> <td> Valeur de p\*\* </td> </tr> <tr> <td> Score des symptômes de rhinoconjonctivite </td> <td> 3,58 (2,98) 2,91 </td> <td> 4,93 (3,23) 4,62 </td> <td> -1,39 [-2,09 ; -0,69] </td> <td> 27,3% </td> <td> 0,0001 </td> </tr> </tbody></table>

* Différence relative moyenne : Différence absolue / Placebo

** ANCOVA

A Moyenne des scores totaux de symptômes de rhinoconjonctivite quotidiens pour chaque patient au cours de la saison pollinique. Les symptômes de rhinoconjonctivite incluaient éternuements, rhinorrhée, prurit nasal, congestion nasale, larmoiement et prurit oculaire (échelle du score : 0 à 18, la valeur la plus élevée de 18 correspond au niveau de présence permanent très sévère pour les six symptômes).

Critères de jugement secondaires :

<table> <tbody><tr> <td>

Étude VO34.04

</td> <td> ORALAIR 300IR Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Placebo Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Diff. absolue ajustée Moyenne [IC 95%] </td> <td> Diff. relative moyenne\* % </td> <td> Valeur de p\*\* </td> </tr> <tr> <td> Utilisation de médicaments de secours </td> <td> 19,7% (24,8) 10.6% </td> <td> 27,9 % (29,3) 19,7% </td> <td> - </td> <td> - </td> <td> - </td> </tr> <tr> <td> Score qualité de vie </td> <td> 1,08 (0,96) 0,89 </td> <td> 1,37 (1,01) 1,20 </td> <td> -0,25 [-0,47 ; -0,04] </td> <td> 21,1% </td> <td> =0,0199 </td> </tr> </tbody></table>

* Différence relative moyenne : Différence absolue / Placebo

** ANCOVA

Utilisation de médicaments symptomatiques de secours : pourcentage de jours par patient avec au moins une prise d'un médicament de secours, valeur de p 0,0194 NS (test de Wilcoxon).

Qualité de vie évaluée au moment du pic pollinique à l'aide du questionnaire Qualité de vie de la rhinoconjonctivite (RQLQ) (échelle de scores de 0 à 7, la valeur la plus élevée du score reflète la qualité de vie la plus mauvaise).

Evaluation globale de l'efficacité du traitement par le patient : 119/136 patients (88%) du groupe ORALAIR 300 IR et 108/148 patients (73%) du groupe placebo ont noté une amélioration légère à modérée ou bonne à excellente par rapport à leurs souvenirs de la saison pollinique précédente.

Les résultats de l'analyse ANCOVA des scores moyens pour chacun des six symptômes individuels de rhinoconjonctivite, cotés de 0 à 3, ont montré une différence en faveur des comprimés 300 IR comparés au placebo pour les éternuements (-0,19), rhinorrhée (-0,23), prurit nasal (-0,23), congestion nasale (-0,28), prurit oculaire (-0,24) et larmoiement (-0,21).

La proportion de patients n'utilisant pas de médicaments de secours était de 35,3% dans le groupe 300 IR et de 27,0% dans le groupe placebo (NS).

Analyses post-hoc (réalisées après la levée du double aveugle) :

<table> <tbody><tr> <td>

Étude VO34.04

</td> <td> ORALAIR 300IR Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Placebo Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Diff. absolue ajustée moyenne [IC 95%] </td> <td> Diff. relative moyenne\* % </td> <td> Valeur de p\*\* </td> </tr> <tr> <td> Score moyen ajusté des symptômes </td> <td> 4,17 (3,39) 3,57 </td> <td> 5,88 (3,82) 5,26 </td> <td> -1,84 [-2,66 ; -1,02] </td> <td> 29,1% </td> <td> &lt;0,0001\*\* </td> </tr> <tr> <td> Score moyen de médicaments de secours </td> <td> 0,31 (0,43) 0,16 </td> <td> 0,48 (0,53) 0,31 </td> <td> -0,17 [-0,29 ; -0,05] </td> <td> 35,0% </td> <td> 0,0047\*\* </td> </tr> <tr> <td> PSCD2-0 </td> <td> 43,5% (33,8) 38,6 </td> <td> 28,7% (30,7) 17,1 </td> <td> - </td> <td> - </td> <td> 0,0001\*\*\* </td> </tr> <tr> <td> PSFD </td> <td> 25,3% (30,2) 10,9 </td> <td> 14,9% (23,6) 0,0 </td> <td> - </td> <td> - </td> <td> 0,0006\*\*\* </td> </tr> </tbody></table>

* Différence relative moyenne : Différence absolue / Placebo

** ANCOVA

*** test de Wilcoxon

Score moyen ajusté des symptômes (AASS) : score moyen des symptômes quotidiens, ajusté en fonction de la consommation de médicaments (pour chaque patient, utilisant les scores quotidiens des symptômes et le score quotidien d'utilisation des médicaments symptomatiques de secours).

Score moyen de médicaments symptomatiques de secours : moyenne des scores quotidiens de médicaments symptomatiques de secours consommés pour chaque patient au cours de la saison pollinique. La consommation de médicaments a été pondérée comme suit : pas de médicaments symptomatiques de secours = 0, antihistamines (oral et/ou oculaire) = 1, corticostéroïdes nasaux = 2 et corticostéroïdes oraux = 3.

Pourcentage des jours avec symptômes contrôlés (PSCD2-0) : pourcentage des jours avec un score des symptômes inférieur ou égal à 2 et sans médicament symptomatique de secours.

Proportion des jours sans symptôme et sans médicament de secours (PSFD) : pourcentage des jours sans symptôme et sans prise de médicament symptomatique de secours.

Soixante et un patients (45%) du groupe 300 IR ont présenté plus de 50% de jours avec contrôle des symptômes (score des symptômes inférieur ou égal à 2 et pas de prise de médicaments symptomatiques de secours) sur l'ensemble de la saison pollinique, contre 40 patients (27%) dans le groupe Placebo.

Population pédiatrique

Etude VO52.06

Une étude européenne multicentrique multinationale, randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo a été menée.

L'étude incluait 278 patients âgés de 5 à 17 ans présentant une rhinite et/ou une rhinoconjonctivite allergique saisonnière aux pollens de graminées, confirmée par des tests cutanés et/ou la présence d'IgE spécifiques aux pollens de graminées.

Les patients ont été randomisés en 2 groupes : placebo (n = 139) ou ORALAIR 300 IR/jour (n = 139). Chaque patient a reçu une dose sublinguale, quotidienne, pendant environ 4 mois avant le début de la saison pollinique ainsi que pendant toute une saison pollinique. Un schéma posologique croissant a étè suivi pendant les 3 premiers jours du traitement, partant d'une dose initiale de 100 IR le premier jour, puis une dose de 200 IR le 2jour puis 300 IR au troisième jour. L'analyse des résultats est basée sur 266 patients évaluables (placebo, n = 135; ORALAIR 300 IR, n = 131). L'efficacité a été déterminée en fonction du score total de symptômes de rhinoconjonctivite (voir détails du score plus bas) durant cette saison pollinique unique.

Les résultats concernant l'efficacité de la dose 300 IR par rapport au groupe placebo (le nombre de sujets inclus dans la population en Intention de Traiter (lTT) était respectivement de 131 pour ORALAIR et 135 pour le placebo) ont été les suivants :

Étude VO52.06 : résultats obtenus sur les critères d'efficacité (au cours d'une seule saison pollinique) :

Critère de jugement principal :

<table> <tbody><tr> <td> Étude VO52.06 </td> <td> ORALAIR 300IR Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Placebo Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Diff. absolue ajustée moyenne [IC 95%] </td> <td> Diff. relative moyenne\* % </td> <td> Valeur de p\*\* </td> </tr> <tr> <td> Score des symptômes de rhinoconjonctivite </td> <td> 3,25 (2,86) 2,48 </td> <td> 4,51 (2,93) 4,08 </td> <td> -1,13 [-1,80 ; -0,46] </td> <td> 28,0% </td> <td> 0,001 </td> </tr> </tbody></table>

* Différence relative moyenne : Différence absolue / Placebo

** ANCOVA

A Score des symptômes : Moyenne des scores totaux de symptômes de rhinoconjonctivite quotidiens pour chaque patient au cours de la saison pollinique. Les symptômes de rhinoconjonctivite incluaient éternuements, rhinorrhée, prurit nasal, congestion nasale, larmoiement et prurit oculaire (échelle du score : 0 à 18, la valeur la plus élevée de 18 correspond au niveau de présence permanent très sévère pour les six symptômes).

Critères de jugement secondaires :

<table> <tbody><tr> <td> Étude VO52.06 </td> <td> ORALAIR 300IR Moyenne (DS) Médiane </td> <td> Placebo Moyenne (DS)

Médiane

</td> <td> Diff. absolue ajustée moyenne [IC 95%] </td> <td> Diff. relative moyenne\* % </td> <td> Valeur de p\*\* </td> </tr> <tr> <td> Score moyen ajusté de médicaments symptomatiques de secours </td> <td> 0,60 (0,61) 0,39 </td> <td> 0,79 (0,65) 0,76 </td> <td> -0,20 [-0,34 ; -0,06] </td> <td> 24,1% </td> <td> 0,0064 </td> </tr> <tr> <td> Utilisation de médicaments symptomatiques de secours </td> <td> 35,4% (33,2) 26,8% </td> <td> 46,5% (34,6) 49,0% </td> <td> - </td> <td> - </td> <td> - </td> </tr> </tbody></table>

* Différence relative moyenne : Différence absolue / Placebo

** ANCOVA

Score moyen de médicaments symptomatiques de secours : moyenne des scores quotidiens de médicaments symptomatiques de secours consommés pour chaque patient au cours de la saison pollinique. La consommation de médicaments a été pondérée comme suit : pas de médicaments symptomatiques de secours = 0, antihistamines (oral et/ou oculaire) = 1, corticostéroïdes nasaux = 2 et corticostéroïdes oraux = 3.

Utilisation de médicaments symptomatiques de secours : pourcentage de jours par patients avec au moins une prise d'un médicament symptomatique de secours, valeur de p 0,0194 NS (test de Wilcoxon).

Scores des symptômes individuels : les résultats de l'analyse ANCOVA des scores moyens pour chacun des six symptômes individuels de rhinoconjonctivite, cotés de 0 à 3, ont montré une différence en faveur des comprimés 300 IR comparés au placebo pour la rhinorrhée (-0,16), la congestion nasale (-0,26), le prurit oculaire (-0,33) et le larmoiement (-0,21).

La proportion de patients n'utilisant pas de médicaments symptomatiques de secours était de 18,3% dans le groupe 300 IR et 14,8% dans le groupe placebo (NS).

Analyses post-hoc (réalisées après la levée du double aveugle) :

<table> <tbody><tr> <td> Étude VO52.06 </td> <td> ORALAIR 300IR Moyenne (DS) Médiane </td> <td> Placebo Moyenne (DS) Médiane </td> <td> Diff. absolue ajustée moyenne [IC 95%] </td> <td> Diff. relative moyenne\* % </td> <td> Valeur de p\*\* </td> </tr> <tr> <td> Score moyen ajusté des symptômes </td> <td> 4,30 (3,57) 3,33 </td> <td> 6,12 (3,85) 5.28 </td> <td> -1,64 [-2,51 ; -0,78] </td> <td> 29,8% </td> <td> 0,0002\*\* </td> </tr> <tr> <td> PSCD2-0 </td> <td> 33.8% (30,0) 30,0 </td> <td> 23,7% (27,2) 12.2 </td> <td> - </td> <td> - </td> <td> 0,0107\*\*\* </td> </tr> <tr> <td> PSFD </td> <td> 19,2% (24,9) 5,2 </td> <td> 10,5% (18,4) 0,0 </td> <td> - </td> <td> - </td> <td> 0,0037\*\*\* </td> </tr> </tbody></table>

* Différence relative moyenne : Différence absolue / Placebo

** ANCOVA

*** test de Wilcoxon

D Score moyen ajusté des symptômes (AASS) : score moyen des symptômes quotidiens, ajusté en fonction de la consommation de médicaments (pour chaque patient, en utilisant les scores quotidiens des symptômes et le score quotidien d'utilisation des médicaments symptomatiques de secours).

E Pourcentage des jours avec symptômes contrôlés (PSCD2-0) : pourcentage des jours avec un score des symptômes inférieur ou égal à 2 et sans médicament symptomatique de secours.

F Proportion des jours sans symptôme et sans médicament de secours (PSFD) : pourcentage des jours sans symptôme et sans prise de médicament symptomatique de secours.

Quarante-quatre patients (34%) du groupe 300 IR ont présenté plus de 50% de jours avec contrôle des symptômes (score des symptômes inférieur ou égal à 2 et pas de prise de médicament symptomatique de secours) sur l'ensemble de la saison pollinique, contre 26 patients (19%) dans le groupe placebo.

Source : BDPM

side-effect

Effets indésirables

  • céphalée

  • irritation de la gorge

  • prurit oral

  • réaction au site d'application

pill

Liste des spécialités disponibles

Source : BDPM

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