Pegcétacoplan 1080 mg/20 ml (54 mg/ml) solution pour perfusion

pill

Informations générales

  • Substance

  • Forme galénique

    Solution pour perfusion

  • Voie d'administration

    Voie sous-cutanée

Source : ANSM

indication

Indications et autres usages documentés

side-effect

Posologie

Le traitement doit être instauré sous la surveillance d’un professionnel de santé expérimenté en matière de prise en charge des affections hématologiques. L'auto-administration et la perfusion à domicile devront être envisagées pour les patients qui ont bien toléré le traitement dans des centres de traitement expérimentés. La décision d’une éventuelle auto-administration et de perfusions à domicile devra être prise après évaluation et sur recommandation du médecin du patient.

Posologie

Le pegcétacoplan peut être administré par un professionnel de santé, ou par le patient ou son aidant en suivant les instructions appropriées.

Le pegcétacoplan doit être administré deux fois par semaine sous la forme d’une perfusion sous-cutanée de 1 080 mg à l’aide d’une pompe à perfusion avec seringue disponible dans le commerce permettant de délivrer des volumes allant jusqu’à 20 mL. Les deux doses hebdomadaires doivent être administrées le jour 1 et le jour 4 de chaque semaine de traitement.

L’HPN est une maladie chronique et il est recommandé de poursuivre le traitement par ASPAVELI à vie, sauf si l’arrêt de ce médicament est cliniquement indiqué (voir rubrique 4.4).

Utilisation d’ASPAVELI en relais d’un inhibiteur de C5 Pendant les 4 premières semaines, le pegcétacoplan doit être administré à raison de deux doses sous-cutanées de 1 080 mg par semaine en complément de la dose d’inhibiteur de C5 déjà administrée, afin de limiter le risque d’hémolyse liée à un arrêt brutal du traitement. Au-delà des 4 semaines, le patient devra arrêter l’inhibiteur de C5 et poursuivre le traitement par ASPAVELI en monothérapie.

Ajustement de la dose d’ASPAVELI La posologie pourra être ajustée à 1 080 mg tous les trois jours (par exemple, jour 1, jour 4, jour 7, jour 10, jour 13, etc.) si le patient présente un taux de lactate déshydrogénase (LDH) dépassant 2 x la limite supérieure de la normale. En cas d’augmentation de la dose, le taux de LDH devra être surveillé deux fois par semaine pendant au moins 4 semaines (voir rubrique 4.4).

En cas d’oubli d’une dose d’ASPAVELI Si une dose de pegcétacoplan a été oubliée, elle devra être administrée dès que possible et le traitement devra être poursuivi selon le calendrier habituel.

Populations particulières

Personnes âgées (> 65 ans) Bien qu’aucune différence apparente liée à l’âge n’ait été observée dans les études cliniques, le nombre de patients âgés de 65 ans et plus n’était pas suffisant pour déterminer si leur réponse au traitement est différente de celle des patients plus jeunes. Il n’existe aucune donnée indiquant que des précautions particulières doivent être prises lors du traitement des patients âgés.

Insuffisance rénale L’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 mL/min) n’a eu aucun effet sur la pharmacocinétique (PK) du pegcétacoplan ; par conséquent, il n’est pas nécessaire d’ajuster la dose de pegcétacoplan chez les patients atteints d’insuffisance rénale. Aucune donnée n’est disponible concernant l’utilisation du pegcétacoplan chez les patients atteints d’insuffisance rénale terminale (IRT) nécessitant une hémodialyse (voir rubrique 5.2).

Insuffisance hépatique La sécurité et l’efficacité du pegcétacoplan n’ont pas été étudiées chez les patients atteints d’insuffisance hépatique ; cependant, aucun ajustement posologique n’est préconisé car l’insuffisance hépatique ne devrait pas avoir d’impact sur la clairance du pegcétacoplan.

Population pédiatrique La sécurité et l’efficacité d’ASPAVELI chez les enfants atteints d’HPN âgés de 0 à < 18 ans n’ont pas encore été établies. Aucune donnée n’est disponible.

Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les enfants âgés de < 12 ans, car aucune donnée de sécurité n’est disponible pour ce groupe d’âge.

Mode d’administration

ASPAVELI doit être administré exclusivement par voie sous-cutanée à l’aide d’une pompe à perfusion avec seringue disponible dans le commerce. Ce médicament peut être auto-administré. Avant de débuter l’auto-administration, le patient recevra des instructions de la part d’un professionnel de santé qualifié concernant les techniques de perfusion, l’utilisation d’une pompe à perfusion avec seringue, la tenue d’un carnet de suivi du traitement, l’identification des effets indésirables éventuels et les mesures à prendre le cas échéant.

ASPAVELI doit être perfusé dans l’abdomen, la cuisse ou le haut du bras. Les différents sites de perfusion doivent être espacés d’au moins 7,5 cm. Le patient doit changer de site de perfusion à chaque administration. L’administration de la perfusion dans des régions de peau présentant une sensibilité, une ecchymose, une rougeur ou un durcissement devra être évitée. Il conviendra d’éviter également les régions porteuses de tatouages, de cicatrices ou de vergetures. La durée habituelle de la

perfusion est d’environ 30 minutes (si deux sites sont utilisés) ou d’environ 60 minutes (si un seul site est utilisé). Une fois la seringue de ce médicament préparée, la perfusion doit être débutée rapidement. L’administration doit être réalisée dans les 2 heures après avoir préparé la seringue. Pour les instructions concernant la préparation et la perfusion du médicament, voir la rubrique 6.6.

Source : EMA

side-effect

Contre-indications

  • Infection

    due à une bactérie encapsulée
  • Non vaccination contre Haemophilus influenzae

  • Non vaccination contre Neisseria meningitidis

  • Non vaccination contre Streptococcus pneumoniae

interactions

Interactions

Aucune donnée disponible pour l'instant.

side-effect

Fertilité, grossesse et allaitement

Femmes en âge de procréer Il est recommandé aux femmes en âge de procréer d’utiliser des méthodes de contraception efficaces pour éviter une grossesse durant le traitement par le pegcétacoplan et pendant au moins 8 semaines après la dernière dose de pegcétacoplan. Pour les femmes ayant un projet de grossesse, l’utilisation d’ASPAVELI peut être envisagée après évaluation des risques et des bénéfices (voir « Grossesse »).
Grossesse Il n’existe pas de données ou il existe des données limitées sur l’utilisation de pegcétacoplan chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique 5.3).
ASPAVELI n’est pas recommandé pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n’utilisant pas de contraception.
Allaitement On ne sait pas si le pegcétacoplan est excrété dans le lait maternel. Le risque d’absorption et d’effet délétère chez le nourrisson allaité n’est pas connu. Les données obtenues chez l’animal suggèrent une faible excrétion (moins de 1 %, quantité non significative d’un point de vue pharmacologique) du pegcétacoplan dans le lait des guenons (voir rubrique 5.3). Il est improbable que l’exposition soit cliniquement significative chez le nourrisson allaité.
Il est recommandé d’interrompre l’allaitement au cours du traitement par le pegcétacoplan.
Fertilité Aucune donnée n’est disponible chez l’animal ou l’être humain concernant les effets du pegcétacoplan sur la fertilité. Lors des études de toxicologie, aucune anomalie microscopique n’a été constatée au niveau des organes reproductifs des mâles ou des femelles chez le singe (voir rubrique 5.3).

Source : EMA

side-effect

Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : immunosuppresseurs, immunosuppresseurs sélectifs, Code ATC : L04AA54
Mécanisme d’action Le pegcétacoplan est une molécule symétrique composée de deux pentadécapeptides identiques attachés par une liaison covalente aux extrémités d’une molécule de PEG linéaire de 40 kDa. Les fragments peptidiques se lient à la protéine C3 du complément et exercent une large inhibition de la cascade du complément. Le fragment PEG de 40 kDa confère une meilleure solubilité et une durée de vie plus longue dans l’organisme après l’administration du médicament.
Le pegcétacoplan se lie à la protéine C3 du complément et au fragment C3b résultant de son activation avec une haute affinité, régulant ainsi le clivage de la C3 et la production des effecteurs de l’activation du complément en aval. Dans le cadre de l’HPN, l’hémolyse extravasculaire (HEV) est facilitée par l’opsonisation du fragment C3b tandis que l’hémolyse intravasculaire (HIV) est médiée par le complexe d’attaque membranaire (CAM) en aval. Le pegcétacoplan exerce une large régulation de la cascade du complément grâce à une action proximale sur la formation du C3b et du CAM, contrôlant ainsi les mécanismes qui conduisent à l’HEV et à l’HIV.
Effets pharmacodynamiques Dans l’étude APL2-302, la concentration moyenne en C3 a augmenté, passant de 0,94 g/L à l’inclusion à 3,83 g/L à la semaine 16 dans le groupe traité par le pegcétacoplan. Le pourcentage de globules rouges HPN de types II et III, qui était de 66,80 % à l’inclusion, est passé à 93,85 % à la semaine 16. Le pourcentage moyen de globules rouges HPN de types II et III avec dépôt de C3 était de 17,73 % à l’inclusion et a été réduit à 0,20 % à la semaine 16.
Efficacité et sécurité cliniques L’efficacité et la sécurité d’ASPAVELI chez les patients atteints d’HPN ont été évaluées dans une étude de phase III (étude APL2-302) qui comprenait une période en ouvert, randomisée, contrôlée contre comparateur actif de 16 semaines, suivie d’une période de 32 semaines en ouvert. Cette étude a inclus des patients atteints d’HPN qui étaient traités par l’éculizumab à dose stable depuis au moins 3 mois et présentaient des taux d’hémoglobine < 10,5 g/dL.
Étude APL2-302 La dose d’ASPAVELI était de 1 080 mg deux fois par semaine. Les patients éligibles ont intégré une période de préinclusion de 4 semaines durant laquelle ils ont reçu 1 080 mg d’ASPAVELI par voie sous-cutanée deux fois par semaine en complément de leur dose actuelle d’éculizumab. Les patients ont ensuite été randomisés selon un ratio de 1/1 en vue de recevoir soit 1 080 mg d’ASPAVELI deux fois par semaine, soit leur dose actuelle d’éculizumab sur toute la durée de la période contrôlée randomisée de 16 semaines. La randomisation a été stratifiée en fonction du nombre de transfusions de concentrés érythrocytaires reçues dans les 12 mois précédant le jour -28 (< 4 ou ≥ 4) et de la numération plaquettaire lors de la sélection (< 100 000/mm3 ou ≥ 100 000/mm3). Les patients arrivés au terme de la période contrôlée randomisée ont été inclus dans la période en ouvert, durant laquelle tous les patients ont reçu ASPAVELI pendant 32 semaines maximum (les patients ayant reçu l’éculizumab durant la période contrôlée randomisée ont intégré une période de préinclusion de 4 semaines avant de passer sous ASPAVELI en monothérapie). Si nécessaire, la dose d’ASPAVELI pouvait être ajustée à 1 080 mg tous les 3 jours.
Les critères d’efficacité primaire et secondaires ont été évalués à la semaine 16. Le critère d’efficacité primaire était l’évolution du taux d’hémoglobine entre l’inclusion et la semaine 16 (durant la période contrôlée randomisée). Les valeurs à l’inclusion étaient établies sur la base de la moyenne des mesures obtenues avant la première dose de pegcétacoplan (au début de la période de préinclusion). Les principaux critères d’efficacité secondaires étaient les transfusions évitées, c-à-d. la proportion de patients n’ayant pas eu besoin d’une transfusion durant la période contrôlée randomisée, et l’évolution du nombre absolu de réticulocytes, du taux de LDH et du score sur l’échelle FACIT-Fatigue entre l’inclusion et la semaine 16.
Au total, 80 patients ont intégré la période de préinclusion. À la fin de la période de préinclusion, les 80 patients ont tous été randomisés, dont 41 dans le groupe ASPAVELI et 39 dans le groupe éculizumab. Les caractéristiques démographiques et les caractéristiques initiales de la maladie étaient globalement bien équilibrées entre les groupes de traitement (voir le tableau 2). Au total, 38 patients du groupe traité par ASPAVELI et 39 patients du groupe traité par l’éculizumab sont allés au terme de la période contrôlée randomisée de 16 semaines et ont ensuite participé à la période en ouvert de 32 semaines. Au total, 12 des 80 patients (15 %) traités par ASPAVELI ont arrêté le traitement en raison d’événements indésirables. Chez 15 patients, la dose a été ajustée à 1 080 mg tous les 3 jours conformément au protocole. Les bénéfices ont été évalués chez 12 patients, et chez 8 d’entre eux, l’ajustement de la dose a apporté un bénéfice.
Tableau 2 : Données démographiques et caractéristiques initiales des patients dans l’étude APL2-302 Paramètre Statistiques ASPAVELI Éculizumab (N = 41) (N = 39) Âge (années) Moyenne (ET) 50,2 (16,3) 47,3 (15,8) 18-64 ans n (%) 31 (75,6) 32 (82,1) ≥ 65 ans n (%) 10 (24,4) 7 (17,9) Dose d’éculizumab à l’inclusion 900 mg par voie IV toutes les 2 semaines n (%) 26 (63,4) 29 (74,4) 900 mg par voie IV tous les 11 jours n (%) 1 (2,4) 1 (2,6) 1 200 mg par voie IV toutes les 2 semaines n (%) 12 (29,3) 9 (23,1) 1 500 mg par voie IV toutes les 2 semaines n (%) 2 (4,9) 0 Sexe féminin n (%) 27 (65,9) 22 (56,4) Délai entre le diagnostic d’HPN (années) et le Moyenne (ET) 8,7 (7,4) 11,4 (9,7) jour -28 Taux d’hémoglobine (g/dL) Moyenne (ET) 8,7 (1,1) 8,7 (0,9) 9 Numération des réticulocytes (10 /L) Moyenne (ET) 218 (75,0) 216 (69,1) Taux de LDH (U/L) Moyenne (ET) 257,5 (97,6) 308,6 (284,8) Score FACIT-Fatigue* total Moyenne (ET) 32,2 (11,4) 31,6 (12,5) Nombre de transfusions reçues dans les 12 mois Moyenne (ET) 6,1 (7,3) 6,9 (7,7) précédant le jour -28 <4 n (%) 20 (48,8) 16 (41,0) ≥4 n (%) 21 (51,2) 23 (59,0) Numération plaquettaire lors de la sélection Moyenne (ET) 167 (98,3) 147 (68,8) (nombre/mm3) < 100 000 n (%) 12 (29,3) 9 (23,1) ≥ 100 000 n (%) 29 (70,7) 30 (76,9) Antécédents d’aplasie médullaire n (%) 11 (26,8) 9 (23,1) Antécédents de syndrome myélodysplasique n (%) 1 (2,4) 2 (5,1) * Le score FACIT-Fatigue est mesuré sur une échelle de 0 à 52, les valeurs les plus élevées indiquant une fatigue moins importante.
ASPAVELI a été supérieur à l’éculizumab sur la base du critère d’évaluation principal, à savoir l’évolution du taux d’hémoglobine par rapport à l’inclusion (p < 0,0001).
Figure 1. Évolution moyenne ajustée du taux d’hémoglobine (g/dL) entre l’inclusion et la semaine 16 Évolution du taux d’ hémoglobine par rapport à l’ inclusion (g/dL)
Semaine 2 Semaine 4 Semaine 6 Semaine 8 Semaine 12 Semaine 16 Visite d’analyse Traitement Pegcétacoplan Éculizumab
La non-infériorité a été démontrée sur la base des principaux critères d’évaluation secondaires, à savoir les transfusions évitées et l’évolution du nombre absolu de réticulocytes par rapport à l’inclusion.
S’agissant de l’évolution du taux de LDH par rapport à l’inclusion, les critères de non-infériorité n’ont pas été remplis.
En raison des tests hiérarchiques, il n’a pas été possible de réaliser des tests statistiques formels pour l’évolution du score FACIT-Fatigue par rapport à l’inclusion.
Les moyennes ajustées, la différence entre traitements, les intervalles de confiance et les analyses statistiques réalisées pour les principaux critères d’évaluation secondaires sont présentés à la figure 2.
Figure 2. Analyse des principaux critères d’évaluation secondaires Pegcétacoplan Éculizumab Différence Non- (n = 41) (n = 39) (IC à 95 %) infériorité
Transfusions Oui évitées, n (%) En faveur de En faveur du Évolution des l’éculizumab pegcétacoplan réticulocytes par rapport Oui à l’inclusion, 109/L MMC (ET)
En faveur du En faveur de Évolution du taux de pegcétacoplan l’éculizumab Non LDH par rapport à l’inclusion ; U/L MMC (ET) En faveur du En faveur de Évolution du score pegcétacoplan l’éculizumab FACIT-fatigue par Non testée rapport à l’inclusion MMC (ET) La marge de non-infériorité pour le critère donné est indiquée En faveur de En faveur du pour chaque paramètre l’éculizumab pegcétacoplan Différence entre le pegcétacoplan et l’éculizumab IC à 95 %
Les résultats ont été cohérents dans toutes les analyses de confirmation des critères principaux et des principaux critères secondaires, en incluant toutes les données observées y compris les données post-transfusion.
Une normalisation du taux d’hémoglobine a été obtenue chez 34 % des patients du groupe ASPAVELI contre 0 % dans le groupe éculizumab à la semaine 16. Une normalisation du taux de LDH a été obtenue chez 71 % des patients traités par ASPAVELI contre 15 % dans le groupe éculizumab.
Au total, 77 patients ont intégré la période en ouvert de 32 semaines durant laquelle tous les patients ont reçu ASPAVELI, ce qui correspond à une exposition totale de 48 semaines maximum. Les résultats à la semaine 48 étaient globalement cohérents avec ceux obtenus à la semaine 16 et montraient une efficacité durable.
Population pédiatrique L’Agence européenne des médicaments a différé l’obligation de soumettre les résultats d’études réalisées avec ASPAVELI dans un ou plusieurs sous-groupes de la population pédiatrique dans l’hémoglobinurie paroxystique nocturne (voir rubrique 4.2 pour les informations concernant l’usage pédiatrique).

Source : EMA

side-effect

Effets indésirables

  • arthralgie

  • complication de la vaccination

  • contusion au site d'injection

  • céphalée

  • diarrhée

  • dorsalgie

  • douleur abdominale

  • douleur au site d'injection

  • douleur aux extrémités

  • fatigue

  • gonflement au site d'injection

  • hémolyse

  • infection des voies aériennes supérieures

  • infection des voies urinaires

  • nausée

  • prurit au site d'injection

  • sensation vertigineuse

  • toux

  • érythème au site d'injection

  • état fébrile

pill

Liste des spécialités disponibles

Source : BDPM

Testez Posos gratuitement

L’outil d’aide à la prescription simple et personnalisé

Voir les risques d'une prescription

Trouver des alternatives thérapeutiques

Identifiez l'origine d'un effet indésirable

Vous avez déjà un compte ?Se connecter