Tobramycine 300 mg/5 ml (60 mg/ml) solution pour inhalation par nébuliseur

pill

Informations générales

  • Substance

  • Forme galénique

    Solution pour inhalation par nébuliseur

  • Voie d'administration

    Voie inhalée

Source : ANSM

indication

Indications et autres usages documentés

side-effect

Posologie

TOBRAMYCINE SUN s'administre par inhalation et non par voie parentérale.

Posologie

La dose recommandée chez l'adulte et l'enfant est d'une ampoule deux fois par jour pendant 28 jours. L'intervalle entre les doses doit être le plus proche possible de 12 heures et ne pas être inférieur à 6 heures. Après 28 jours de traitement, le patient doit interrompre le traitement par tobramycine pendant les 28 jours suivants. Des cycles de 28 jours de traitement actif suivis de 28 jours sans traitement seront maintenus.

Le dosage n'a pas à être ajusté en fonction du poids. Tous les patients reçoivent une ampoule de TOBRAMYCINE SUN (300 mg de tobramycine) deux fois par jour.

Les essais cliniques contrôlés, réalisés sur une période de 6 mois selon le schéma d'administration de la tobramycine ci-dessous, ont montré que l'amélioration de la fonction pulmonaire est maintenue au-dessus de l'état de base pendant les périodes de 28 jours sans traitement.

Schéma d'administration de la tobramycine au cours des essais cliniques contrôlés

<table> <tbody><tr> <td colspan="2"> Cycle 1 </td> <td colspan="2"> Cycle 2 </td> <td colspan="2"> Cycle 3 </td> </tr> <tr> <td> 28 jours </td> <td> 28 jours </td> <td> 28 jours </td> <td> 28 jours </td> <td> 28 jours </td> <td> 28 jours </td> </tr> <tr> <td> Tobramycine 300 mg deux fois par jour en plus des soins habituels </td> <td> Soins habituels </td> <td> Tobramycine 300 mg deux fois par jour en plus des soins habituels </td> <td> Soins habituels </td> <td> Tobramycine 300 mg deux fois par jour en plus des soins habituels </td> <td> Soins habituels </td> </tr> </tbody></table>

La tolérance et l'efficacité ont été évaluées au cours d'essais contrôlés en ouvert sur une période allant jusqu'à 96 semaines (12 cycles), elles n'ont cependant pas été étudiées chez les patients âgés de moins de 6 ans, les patients ayant un volume expiratoire maximum seconde (VEMS) < 25 % ou > 75 %, ou les patients infectés par Burkholderia cepacia.

Le traitement doit être initié par un médecin expérimenté dans le domaine de la mucoviscidose. Le traitement par tobramycine doit être poursuivi de manière cyclique aussi longtemps que le médecin considère qu'il existe un bénéfice clinique pour le patient dès l'inclusion de la tobramycine dans son traitement. En cas de détérioration clinique évidente de la fonction pulmonaire, on envisagera un traitement antipseudomonal additionnel. Les essais cliniques ont montré qu'une résistance in vitro à la tobramycine ne signifiait pas nécessairement une absence de bénéfice clinique pour le patient.

Populations particulières

Patients âgés

Les données disponibles dans cette population sont insuffisantes pour recommander ou non une adaptation posologique.

Insuffisance rénale

Aucune donnée n'est disponible dans cette population pour recommander ou non une adaptation posologique de la tobramycine. Voir également les informations sur la néphrotoxicité en rubrique 4.4 et sur l'élimination en rubrique 5.2.

Insuffisance hépatique

Aucune étude n'a été conduite chez les patients présentant une insuffisance hépatique. La tobramycine n'étant pas métabolisée au niveau du foie, l'insuffisance hépatique ne devrait pas avoir d'effet sur l'exposition à la tobramycine.

Patients transplantés d'organe

Il n'existe pas de données adéquates sur l'utilisation de tobramycine chez les patients transplantés d'organe.

Population pédiatrique

La sécurité et l'efficacité de la tobramycine chez les enfants âgés de moins de 6 ans n'ont pas encore été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites en rubrique 5.1, mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée.

Mode d'administration

Le contenu d'une ampoule doit être vidé dans le nébuliseur et administré par inhalation sur une période de 15 minutes environ, à l'aide d'un nébuliseur à main réutilisable PARI LC PLUS, équipé d'un compresseur approprié (vitesse d'administration du médicament de 7,2 mg/min ; quantité totale de médicament administrée 115 mg ; diamètre aérodynamique moyen en masse : 4,3 ; répartition de la taille des gouttelettes : D10 1.7 micromètres, D50 4.7 micromètres, D90 11.4 micromètres; dose de particules fines de 48,8 mg/ampoule, écart-type géométrique de 2,2). Les compresseurs appropriés sont ceux qui, fixés sur un nébuliseur PARI LC PLUS, fournissent un débit de 4-6 l/min. et/ou une contre-pression de 110-217 kPa. Pour l'utilisation et l'entretien du nébuliseur et du compresseur, suivre les instructions du fabricant.

La tobramycine doit être inhalée par le patient en position assise ou debout en respirant normalement au travers de la pièce buccale du nébuliseur. Un pince-nez peut aider le patient à respirer par la bouche. Le patient doit continuer sa kinésithérapie respiratoire habituelle. L'usage de bronchodilatateurs appropriés doit être poursuivi tant que cela paraît nécessaire. Lorsqu'un patient reçoit plusieurs traitements respiratoires différents, il est recommandé d'observer l'ordre suivant : bronchodilatateur, kinésithérapie respiratoire, autres médicaments en inhalation et enfin, la tobramycine.

Dose quotidienne maximale tolérée

La dose quotidienne maximale tolérée de tobramycine n'a pas été établie.

Source : BDPM

side-effect

Contre-indications

  • Allaitement

    ototoxicité et néphrotoxicité
  • Grossesse

    Surdité congénitale à dose élevée
interactions

Interactions

aminosides <> ataluren
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de potentialisation de la toxicité rénale de l’aminoside.
Conduite à tenir
-
aminosides <> autres aminosides
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque accru de néphrotoxicité et d'ototoxicité (l'ototoxicité est cumulative en cas d'administrations successives).
Conduite à tenir
Contre-indication : - en cas d'administration simultanée
aminosides <> botulique (toxine)
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d'augmentation des effets de la toxine botulique avec les aminosides (par extrapolation à partir des effets observés au cours du botulisme).
Conduite à tenir
Utiliser un autre antibiotique.
aminosides <> polymyxine B
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Addition des effets néphrotoxiques.
Conduite à tenir
Si l'association ne peut être évitée, surveillance stricte avec une justification bactériologique indiscutable.
aminosides <> céfalotine
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
L'augmentation de la néphrotoxicité des aminosides par la céfalotine est discutée.
Conduite à tenir
Surveillance de la fonction rénale.
aminosides <> diurétiques de l'anse
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation des risques néphrotoxiques et ototoxiques de l'aminoside (insuffisance rénale fonctionnelle liée à la déshydratation entraînée par le diurétique).
Conduite à tenir
Association possible sous contrôle de l'état d'hydratation, des fonctions rénale et cochléovestibulaire, et éventuellement, des concentrations plasmatiques de l'aminoside.
aminosides <> amphotéricine B
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque accru de néphrotoxicité.
Conduite à tenir
-
aminosides <> ciclosporine
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation de la créatininémie plus importante que sous ciclosporine seule, avec majoration du risque néphrotoxique.
Conduite à tenir
-
aminosides <> organoplatines
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Addition des effets néphrotoxiques et/ou ototoxiques, notamment en cas d'insuffisance rénale préalable.
Conduite à tenir
-
aminosides <> tacrolimus
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation de la créatininémie plus importante que sous tacrolimus seul (synergie des effets néphrotoxiques des deux substances).
Conduite à tenir
-
médicaments néphrotoxiques <> autres médicaments néphrotoxiques
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de majoration de la néphrotoxicité.
Conduite à tenir
-
médicaments ototoxiques <> autres médicaments ototoxiques
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Majoration de l'ototoxicité.
Conduite à tenir
-
side-effect

Fertilité, grossesse et allaitement

La tobramycine ne doit pas être administrée pendant la grossesse ni au cours de l'allaitement sauf si le bénéfice escompté pour la mère est supérieur au risque potentiel pour le fœtus, le nouveau-né ou le nourrisson.

Grossesse

Il n'y a pas de données suffisantes concernant l'utilisation de la tobramycine administrée par inhalation chez la femme enceinte. Les études chez l'animal n'ont mis en évidence aucun effet tératogène de la tobramycine (voir rubrique 5.3). Cependant, les aminosides peuvent être néfastes pour le fœtus (par ex. surdité congénitale) lorsque des concentrations systémiques élevées sont atteintes chez la femme enceinte. En cas d'utilisation de la tobramycine pendant la grossesse ou si une grossesse survient en cours de traitement par tobramycine, la patiente doit être informée des risques encourus par le fœtus

Allaitement

La tobramycine administrée par voie systémique est excrétée dans le lait maternel. Il n'y a pas de données suffisantes pour déterminer si l'administration de tobramycine entraîne des concentrations sériques suffisamment élevées pour être détectées dans le lait maternel. En raison de l'ototoxicité et de la néphrotoxicité de la tobramycine chez le nouveau-né et le nourrisson, il faudra soit arrêter l'allaitement soit interrompre le traitement par tobramycine.

Fertilité

Aucun effet sur la fertilité des mâles ou des femelles n'a été observé dans les études chez l'animal après administration sous-cutanée (voir rubrique 5.3).

side-effect

Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : Aminosides antibactériens, code ATC : J01GB01.

Mécanisme d'action

La tobramycine est un antibiotique de la famille des aminosides produit à partir du Streptomyces tenebrarius. Elle agit principalement en bloquant la synthèse des protéines, altérant ainsi la perméabilité de la membrane cellulaire, entraînant la rupture progressive de l'enveloppe cellulaire puis éventuellement la mort de la cellule. Elle possède une action bactéricide à des concentrations égales ou légèrement supérieures aux concentrations inhibitrices.

Limites de sensibilité

Les limites de sensibilité déterminées pour l'administration parentérale de tobramycine ne conviennent pas pour l'administration par aérosol du médicament.

Les expectorations des patients atteints de mucoviscidose présentent une action inhibitrice sur l'activité biologique locale des aminosides nébulisés. De ce fait, les concentrations de tobramycine en aérosol dans les expectorations doivent être respectivement 10 et 25 fois supérieures aux CMI (concentrations minimales inhibitrices) pour arrêter la croissance de P. aeruginosa et permettre une activité bactéricide. Au cours des essais cliniques contrôlés, 97 % des patients recevant de la tobramycine présentaient dans les expectorations des concentrations égales à 10 fois la CMI la plus élevée de P. aeruginosa obtenue et 95 % présentaient des concentrations supérieures à 25 fois la CMI la plus élevée. Pour la majorité des patients dont les souches cultivées présentaient des valeurs de CMI supérieures à la limite de sensibilité parentérale, un bénéfice clinique a tout de même été obtenu.

Sensibilité

En l'absence de limites de sensibilité conventionnelles pour l'administration par nébulisation, il faut être prudent lors de la définition de la sensibilité ou de l'insensibilité de l'organisme à la tobramycine par nébulisation. Les études cliniques avec la tobramycine ont toutefois révélé qu'un examen microbiologique indiquant une résistance in vitro à la substance n'est pas nécessairement synonyme d'une absence de bénéfice clinique pour le patient.

La majorité des patients ayant au début du traitement par tobramycine une CMI < 128 microgrammes/mL à la tobramycine vis-à-vis de P. aeruginosa ont présenté une amélioration de leur fonction pulmonaire après traitement. Les patients ayant au début du traitement par tobramycine, une CMI ≥ 128 microgrammes/mL vis-à-vis de P. aeruginosa ont une probabilité moindre de répondre au traitement. Cependant, au cours des essais contrôlés versus placebo, 7 patients sur 13 (54 %) ayant acquis sous traitement des souches avec une CMI ≥ 128 microgrammes/mL, ont présenté une amélioration de leur fonction pulmonaire.

Sur toute la durée des études d'extension de 96 semaines, la CMI50 de la tobramycine vis-à-vis de P. aeruginosa a augmenté de 1 à 2 microgrammes/mL et la CMI90 a augmenté de 8 à 32 microgrammes/mL.

Le spectre établi à partir des données in vitro et/ou cliniques pour les bactéries impliquées dans les infections pulmonaires au cours de la mucoviscidose est le suivant :

<table> <tbody><tr> <td> Espèces sensibles </td> <td> Pseudomonas aeruginosa Haemophilus influenzae Staphylococcus aureus </td> </tr> <tr> <td> Espèces résistantes </td> <td> Burkholderia cepacia Stenotrophomonas maltophilia Alcaligenes xylosoxidans </td> </tr> </tbody></table>

Les essais cliniques avec la tobramycine ont mis en évidence une faible mais nette augmentation des Concentrations Minimales Inhibitrices de la tobramycine, de l'amikacine et de la gentamicine sur les souches de P. aeruginosa. Chaque période supplémentaire de 6 mois de traitement a montré une augmentation similaire à celle observée durant les 6 mois de l'étude contrôlée. Le principal mécanisme de résistance aux aminosides constaté sur les souches de P. aeruginosa sur des patients atteints de mucoviscidose et souffrant d'infection chronique est l'imperméabilité, qui se traduit par une perte de sensibilité à tous les aminosides. On a observé également sur les souches de P. aeruginosa provenant de patients mucoviscidosiques, une résistance aux aminosides caractérisée par un retour à la sensibilité en l'absence de l'antibiotique.

Autres informations

Il n'a pas été démontré que les patients traités par tobramycine pendant 18 mois avaient un risque accru d'infection par B. cepacia, S. maltophilia ou A. xylosoxidans, par rapport aux patients ne recevant pas de tobramycine. Des espèces d'Aspergillus ont été plus fréquemment retrouvées dans les expectorations des patients sous tobramycine ; cependant, des conséquences cliniques telles que l'aspergillose bronchopulmonaire allergique (ABPA) ont été rarement rapportées et avec une fréquence similaire à celle du groupe contrôle.

Les données cliniques de sécurité et d'efficacité disponibles sont insuffisantes chez les enfants de moins de 6 ans.

Dans une étude en ouvert, non comparative, 88 patients atteints de mucoviscidose (37 patients âgés de 6 mois à 6 ans, 41 patients âgés de 6 à 18 ans et 10 patients âgés de plus de 18 ans) avec primocolonisation (infection non chronique) à P. aeruginosa ont été traités pendant 28 jours par tobramycine. Après 28 jours, les patients ont été randomisés selon un ratio 1:1 soit pour arrêter le traitement (n=45) soit pour 28 jours supplémentaires de traitement (n=43).

Le critère principal était le temps médian de récidive de l'infection à P. aeruginosa (quelle que soit la souche) qui a été respectivement de 26,1 et 25,8 mois pour 28 jours et 56 jours de traitement. Il a été constaté que 93 % et 92 % des patients ne présentaient plus d'infection à P. aeruginosa un mois après la fin du traitement après 28 jours et 56 jours de traitement, respectivement. L'utilisation de la tobramycine selon un schéma posologique de plus de 28 jours de traitement continu, n'est pas approuvée.

Efficacité clinique

Deux études cliniques de 24 semaines ayant un plan identique, randomisées, en double aveugle, contrôlées contre placebo, en groupes parallèles (Etude 1 et Etude 2) ont été conduites chez des patients atteints de mucoviscidose par P. aeruginosa afin d'étayer la demande initiale d'autorisation de mise sur le marché du produit, qui a été accordée en 1999. Ces études ont inclus 520 patients avec un VEMS à la sélection compris entre 25 % et 75 % de la valeur normale théorique.

Les patients âgés de moins de 6 ans, ceux avec un taux de créatinine > 2 mg/dL à la sélection et ceux infectés par Burkholderia cepacia ont été exclus. Dans ces études cliniques, 258 patients ont reçu un traitement par tobramycine en ambulatoire à l'aide d'un nébuliseur à main réutilisable PARI LC PLUS, équipé d'un compresseur DeVilbiss Pulmo-Aide.

Dans chaque étude, les patients traités par tobramycine ont présenté une amélioration significative de la fonction pulmonaire et une réduction significative du nombre d'unités formant colonie (UFC) de P. aeruginosa dans les expectorations au cours des périodes sous traitement. Le VEMS moyen est resté supérieur à la valeur initiale au cours des périodes sans traitement de 28 jours, même s'il y a eu la plupart du temps une certaine inversion. La densité bactérienne dans les expectorations est revenue à la valeur initiale au cours des périodes sans traitement. Les réductions de la densité bactérienne dans les expectorations ont été plus faibles lors de chaque cycle successif.

Les patients traités par tobramycine ont en moyenne présenté moins de jours d'hospitalisation et nécessité moins de jours de traitement antibiotique à visée antipseudomonale par voie parentérale que les patients sous placebo.

Sur les 464 patients ayant terminé l'une ou l'autre des deux études 1 et 2 en double aveugle de 24 semaines, 396 patients ont participé aux extensions en ouvert de ces études. Au total, 313, 264 et 120 patients ont été traités par tobramycine pendant respectivement 48, 72 et 96 semaines. Le taux de diminution de la fonction pulmonaire était significativement plus faible après l'initiation du traitement par tobramycine que celui observé chez les patients recevant le placebo au cours de la période de traitement randomisé en double aveugle. La pente de diminution de la fonction pulmonaire estimée au moyen d'un modèle de régression était de - 6,52 % au cours du traitement en aveugle par placebo et de - 2,53 % au cours du traitement par tobramycine (p = 0,0001).

Source : BDPM

side-effect

Effets indésirables

  • anorexie

  • asthme

  • asthénie

  • céphalée

  • diminution de la fonction respiratoire mesurée par les valeurs des explorations fonctionnelles

  • douleur abdominale

  • douleur thoracique

  • dysphonie

  • dyspnée

  • expectoration teintée

  • hémoptysie

  • nausée

  • perte de poids

  • pharyngite

  • rhinite

  • toux

  • toux productive

  • trouble pulmonaire

  • vomissement

  • état fébrile

pill

Liste des spécialités disponibles

Source : BDPM

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