Zubsolv 1,4 mg/0,36 mg, comprimé sublingual

pill

Informations générales

Source : ANSM

indication

Indications et autres usages documentés

side-effect

Posologie

Le traitement doit être sous la supervision d'un médecin expérimenté dans la prise en charge de la dépendance/l'addiction aux opioïdes.

Zubsolv n'est pas interchangeable avec d'autres produits contenant de la buprénorphine, car différents produits contenant de la buprénorphine ne sont pas nécessairement bioéquivalents. Par conséquent, la dose en mg peut varier selon les produits. Une fois que la dose appropriée a été établie pour un patient disposant d'un produit spécifique contenant de la buprénorphine, il n'est pas recommandé de remplacer ce produit par un autre produit.

Si le traitement d'un patient est modifié entre des produits contenant de la buprénorphine ou de la buprénorphine et de la naloxone, des ajustements posologiques peuvent être nécessaires en raison de différences potentielles de biodisponibilité (voir rubriques 4.4 et 5.2).

L'utilisation de multiples de l'un des trois dosages les plus élevés pour substituer l'un des dosages les plus faibles (par exemple dans le cas d'une indisponibilité temporaire des présentations ayant des dosages élevés) n'est pas recommandée (voir rubrique 5.2).

<u>Précautions à prendre avant l'induction </u>

Avant l'instauration du traitement, il convient de prendre en compte le type de dépendance aux opioïdes (c.-à-d. opioïdes à durée d'action longue ou courte), l'intervalle de temps écoulé depuis la dernière prise d'opioïdes et le degré de dépendance aux opioïdes. Pour éviter l'apparition d'un syndrome de sevrage, l'initiation du traitement par buprénorphine/naloxone ou par buprénorphine doit être effectuée uniquement lorsque des signes objectifs et clairs de sevrage sont évidents (démontrés par ex. par un score indiquant un sevrage léger à modéré sur l'échelle clinique validée de sevrage des opioïdes, COWS).

• Pour les patients dépendants à l'héroïne ou aux opioïdes à courte durée d'action, la première dose de buprénorphine/naloxone doit être prise lors de l'apparition des signes de sevrage, mais au minimum 6 heures après la dernière prise d'opioïdes par le patient.

• Pour les patients recevant de la méthadone, la dose de méthadone doit être réduite à un maximum de 30 mg/jour avant de commencer le traitement par buprénorphine/naloxone. Il convient de prendre en considération la longue demi-vie de la méthadone lors de l'instauration de la buprénorphine/naloxone. La première dose de buprénorphine/naloxone doit être prise uniquement lors de l'apparition des signes de sevrage, mais au minimum 24 heures après la dernière prise de méthadone par le patient. La buprénorphine peut précipiter l'apparition des symptômes de sevrage chez les patients dépendants à la méthadone.

<u>Posologie </u>

<i>Instauration du traitement (induction) </i>

La dose initiale recommandée chez les adultes et les adolescents âgés de plus de 15 ans est de 1,4 mg/0,36 mg ou 2,9 mg/0,71 mg par jour. Un comprimé supplémentaire de Zubsolv 1,4 mg/0,36 mg ou 2,9 mg/0,71 mg peut être administré le premier jour, en fonction des besoins du patient.

Pendant l'instauration du traitement, il est recommandé de contrôler quotidiennement son administration afin de s'assurer que le comprimé soit placé correctement sous la langue et observer la réponse du patient au traitement ce qui permettra de titrer efficacement la dose en fonction de l'effet clinique.

<i>Stabilisation de la posologie et traitement d'entretien </i>

Suite à l'induction au jour 1 du traitement, il convient de stabiliser rapidement le patient à une dose d'entretien adéquate en ajustant la posologie pour atteindre une dose permettant de maintenir le patient sous traitement et supprimer les effets de sevrage des opioïdes et qui dépend de la réévaluation de l'état clinique et psychologique du patient. La posologie maximale de 17,2 mg de buprénorphine par jour en une prise (par exemple : 11,4 + 5,7 mg ou 2 x 8,6 mg ou 3 x 5,7 mg) ne doit pas être dépassée.

Pendant le traitement d'entretien, il peut être nécessaire périodiquement de stabiliser à nouveau le patient à une nouvelle dose d'entretien en réponse à l'évolution de ses besoins.

L'utilisation du dosage 0,7 mg/0,18 mg a pour but d'affiner la dose chez les patients, en particulier pendant la diminution progressive du traitement ou en cas de problèmes de tolérance au cours de la titration.

Les médecins sont encouragés à prescrire un schéma thérapeutique en un seul comprimé une fois par jour si possible afin de réduire au minimum le risque de détournement.

<i>Administration non quotidienne </i>

Après obtention d'une stabilisation satisfaisante, la fréquence d'administration du traitement par Zubsolv peut être réduite à une administration tous les deux jours en doublant la dose

quotidienne titrée pour le patient. Chez certains patients, après l'obtention d'une stabilisation satisfaisante, la fréquence d'administration du traitement peut être réduite à trois administrations par semaine (par exemple lundi, mercredi et vendredi. La dose du lundi et du mercredi doit être le double de la dose quotidienne titrée, et la dose du vendredi doit être le triple de la dose quotidienne titrée pour le patient, sans traitement les jours intermédiaires). Toutefois, la dose administrée en une seule journée ne doit pas dépasser 17,2 mg de buprénorphine. Les patients nécessitant une dose quotidienne titrée > 5,7 mg de buprénorphine par jour peuvent ne pas trouver ce schéma adéquat.

<i>Arrêt du traitement </i>

Après l'obtention d'une stabilisation satisfaisante, si le patient l'accepte, la posologie peut être réduite progressivement à une dose d'entretien plus faible ; dans certains cas favorables, le traitement peut être arrêté. La disponibilité de 6 dosages différents favorise une titration individuelle et une diminution progressive de la posologie. Les patients doivent être suivis après l'arrêt du traitement en raison du risque de rechute.

<u>Populations particulières </u>

<i>Personnes âgées </i>

La sécurité et l'efficacité de la buprénorphine/naloxone chez les patients âgés de plus de 65 ans n'ont pas été établies. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être faite.

<i>Insuffisance hépatique </i>

Comme les propriétés pharmacocinétiques de la buprénorphine/naloxone peuvent être modifiées chez les patients présentant une insuffisance hépatique, il est recommandé d'instaurer et de titrer prudemment les doses chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (voir rubrique 5.2). La buprénorphine/naloxone est contre-indiquée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (voir rubriques 4.3 et 5.2).

<i>Insuffisance rénale </i>

La modification de la dose de buprénorphine/naloxone n'est pas nécessaire chez les patients insuffisants rénaux. La prudence est recommandée quant à la posologie des patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) (voir rubriques 4.4 et 5.2).

<i>Population pédiatrique </i>

La sécurité et l'efficacité de buprénorphine/naloxone chez les enfants âgés de moins de 15 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible.

<u>Mode d'administration </u>

Les médecins doivent avertir les patients que la voie sublinguale est la seule voie d'administration efficace et sûre pour ce médicament (voir rubrique 4.4). Le comprimé doit être placé sous la langue jusqu'à dissolution complète. Les patients ne doivent pas avaler, consommer des aliments ou des boissons jusqu'à ce que le comprimé soit complètement dissous.

Zubsolv se désagrège généralement dans les 40 secondes ; cependant, 5 à 10 minutes peuvent être nécessaires pour que le patient ressente la disparition totale du comprimé dans la bouche.

Si plus d'un comprimé est nécessaire, ils peuvent être pris en même temps ou successivement : la seconde prise doit être effectuée directement après désagrégation du premier comprimé.

Source : EMA

side-effect

Contre-indications

  • Delirium tremens

  • Ingestion d'alcool

  • Insuffisance hépatique

  • Insuffisance respiratoire sévère

interactions

Interactions

morphiniques <> oxybate de sodium
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.
Conduite à tenir
-
morphiniques agonistes-antagonistes <> analgésiques morphiniques de palier III
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Diminution de l'effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
Conduite à tenir
-
morphiniques agonistes-antagonistes <> morphiniques antagonistes partiels
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de diminution de l’effet antalgique et/ou d’apparition d’un syndrome de sevrage.
Conduite à tenir
-
morphiniques agonistes-antagonistes <> méthadone
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Diminution de l'effet de la méthadone par blocage compétitif des récepteurs.
Conduite à tenir
-
morphiniques en traitement de substitution <> morphiniques antagonistes partiels
Contre-indication
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque d’apparition d’un syndrome de sevrage.
Conduite à tenir
-
morphiniques agonistes-antagonistes <> analgésiques morphiniques de palier II
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Diminution de l'effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
Conduite à tenir
-
morphiniques agonistes-antagonistes <> antitussifs morphiniques vrais
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Diminution de l'effet antalgique ou antitussif du morphinique, par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
Conduite à tenir
-
médicaments sédatifs <> alcool (boisson ou excipient)
Association DECONSEILLEE
Nature du risque et mécanisme d'action
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Conduite à tenir
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
buprénorphine <> itraconazole
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation des concentrations de buprénorphine par diminution de son métabolisme hépatique, avec risque de majoration de ses effets indésirables.
Conduite à tenir
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la buprénorphine pendant le traitement par l'inhibiteur et, le cas échéant, après son arrêt.
buprénorphine <> kétoconazole
Précaution d'Emploi
Nature du risque et mécanisme d'action
Augmentation des concentrations de buprénorphine par diminution de son métabolisme hépatique, avec risque de majoration de ses effets indésirables.
Conduite à tenir
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la buprénorphine pendant le traitement par l'inhibiteur et, le cas échéant, après son arrêt.
buprénorphine <> atazanavir
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de majoration ou de diminution des effets de la buprénorphine, à la fois par inhibition et accélération de son métabolisme par l’inhibiteur de protéases.
Conduite à tenir
-
buprénorphine <> benzodiazépines et apparentés
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Avec la buprénorphine utilisée en traitement de substitution : risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale.
Conduite à tenir
Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association. Informer le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites.
buprénorphine <> inhibiteurs de protéases boostés par ritonavir
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque de majoration ou de diminution des effets de la buprénorphine, à la fois par inhibition et accélération de son métabolisme par l’inhibiteur de protéases.
Conduite à tenir
-
morphiniques <> barbituriques
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque majoré de sédation et de dépression respiratoire pouvant entraîner coma et décès, notamment chez le sujet âgé. Il convient de limiter autant que possible les doses et la durée de l’association.
Conduite à tenir
-
morphiniques <> benzodiazépines et apparentés
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque majoré de sédation et de dépression respiratoire pouvant entraîner coma et décès, notamment chez le sujet âgé. Il convient de limiter autant que possible les doses et la durée de l’association.
Conduite à tenir
-
morphiniques <> médicaments atropiniques
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Risque important d'akinésie colique, avec constipation sévère.
Conduite à tenir
-
médicaments sédatifs (sauf oxybate de sodium) <> autres médicaments sédatifs (sauf oxybate de sodium)
A prendre en compte
Nature du risque et mécanisme d'action
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Conduite à tenir
-
side-effect

Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse
Il n'existe pas ou peu de données sur l'utilisation de la buprénorphine/naloxone chez les femmes enceintes. Les études menées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique 5.3). Le risque potentiel pour l'homme n'est pas connu.
En fin de grossesse, la buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né même après une courte période d'administration. L'administration à long terme de buprénorphine au cours des trois derniers mois de la grossesse peut provoquer l'apparition d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né (par exemple hypertonie, tremblements du nouveau-né, agitation néonatale, myoclonie ou convulsions). Le syndrome est généralement retardé de plusieurs heures, voire de plusieurs jours, après la naissance.
En raison de la longue demi-vie de la buprénorphine, une surveillance néonatale pendant plusieurs jours doit être envisagée à la fin de la grossesse, pour prévenir le risque de dépression respiratoire ou le syndrome de sevrage chez les nouveau-nés.
En outre, l'utilisation de la buprénorphine/naloxone pendant la grossesse doit être évaluée par le médecin. La buprénorphine/naloxone ne doit être utilisée pendant la grossesse que si le bénéfice potentiel est supérieur au risque potentiel pour le fœtus.
Allaitement
On ne sait pas si la naloxone / ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel humain. La buprénorphine et ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel humain. Chez les rats, il a été observé que la buprénorphine inhibe la lactation. Par conséquent, l'allaitement doit être interrompu durant un traitement par Zubsolv.
Fertilité
Des études sur les animaux ont mis en évidence une baisse de la fertilité chez les femelles lors de la prise de doses élevées (exposition systémique > 2,4 fois l'exposition humaine à la dose maximale recommandée de 17,2 mg de buprénorphine, basée sur l'ASC) (voir rubrique 5.3).
side-effect

Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique : Autres médicaments du système nerveux central, médicaments utilisés pour les troubles addictifs, Code ATC : N07BC51.
Mécanisme d'action
La buprénorphine est un opioïde agoniste partiel/antagoniste qui se lie aux récepteurs opioïdes du cerveau μ (mu) et κ (kappa). Son activité dans le traitement de substitution aux opioïdes est attribuée à sa liaison lentement réversible aux récepteurs opioïdes μ qui, sur une période prolongée, peut minimiser le besoin en drogues chez les patients dépendants.
Les effets plafond de l'agoniste opioïde ont été observés au cours des études de pharmacologie clinique chez des patients dépendants aux opioïdes.
La naloxone est un antagoniste des récepteurs opioïdes µ. Lorsqu'elle est administrée par voie orale ou sublinguale aux posologies habituelles chez des patients présentant un sevrage aux opioïdes, la naloxone a peu ou pas d'effet pharmacologique en raison de sa métabolisation presque complète lors du premier passage. Lorsqu'elle est administrée par voie intraveineuse chez des patients dépendants aux opioïdes, la présence de naloxone dans Zubsolv provoque des effets antagonistes opioïdes marqués ainsi qu'un syndrome de sevrage des opioïdes, dissuadant donc de toute utilisation abusive du produit par voie intraveineuse.
Efficacité et sécurité cliniques
Les données d'efficacité et de sécurité d'emploi de buprénorphine/naloxone sont principalement issues d'une étude clinique menée pendant un an, comprenant une comparaison randomisée, en double aveugle de buprénorphine/naloxone, buprénorphine et placebo sur une période de quatre semaines, suivie d'une étude de tolérance de buprénorphine/naloxone sur une période de 48 semaines. Dans cette étude, 326 sujets héroïnomanes ont été randomisés pour recevoir soit 16 mg par jour de buprénorphine/naloxone, soit 16 mg par jour de buprénorphine soit un placebo. Pour les sujets randomisés pour recevoir un des traitements actifs, la posologie était de 8 mg de buprénorphine au Jour 1, suivie de 16 mg (deux comprimés à 8 mg) de buprénorphine au Jour 2. Les sujets randomisés pour recevoir la buprénorphine/naloxone sont passés à cette association au Jour 3. Les sujets ont été vus quotidiennement à la clinique (du lundi au vendredi) pour évaluer la posologie et l'efficacité. Des doses ont été délivrées aux patients pour
qu'ils les prennent chez eux pendant les week-ends.
L'objectif principal de l'étude était la comparaison de l'efficacité de la buprénorphine et de la buprénorphine/naloxone individuellement par rapport au placebo. Le pourcentage de prélèvements d'urine, effectués trois fois par semaine, qui se sont révélés négatifs aux opioïdes non inclus dans l'étude était statistiquement plus élevé dans le groupe buprénorphine/naloxone que dans le groupe placebo (p < 0,0001) et dans le groupe buprénorphine que dans le placebo (p < 0,0001).
Dans une étude en double aveugle, double placebo, en groupes parallèles comparant la buprénorphine en solution éthanolique versus un contrôle actif d'agoniste complet, 162 sujets ont été randomisés pour recevoir la solution sublinguale éthanolique de la buprénorphine à 8 mg/jour (une dose qui est à peu près comparable à une dose de 12 mg/jour de buprénorphine/naloxone), ou deux doses relativement faibles du contrôle actif, dont l'une d'elles était suffisamment faible pour servir d'alternative au placebo, pendant une phase d'induction de 3 à 10 jours, une phase d'entretien de 16 semaines et une phase de désintoxication de 7 semaines. La dose d'entretien de buprénorphine a été titrée jusqu'au Jour 3 ; les doses du contrôle actif ont été titrées plus progressivement. En se base sur le maintien sous traitement et sur le pourcentage de prélèvements d'urine, négatifs aux opioïdes non inclus dans l'étude effectués trois fois par semaine, la buprénorphine s'est révélée plus efficace que la dose faible du groupe contrôle, en permettant de maintenir les héroïnomanes sous traitement et en réduisant leur consommation d'opioïdes pendant le traitement. L'efficacité de la buprénorphine, 8 mg par jour était similaire à celle de la dose modérée du contrôle actif, mais l'équivalence n'a pas été démontrée.

Source : EMA

side-effect

Effets indésirables

  • constipation

  • céphalée

  • hyperhidrose

  • insomnie

  • nausée

  • syndrome de sevrage

pill

Liste des spécialités disponibles

Source : BDPM

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